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e à ce oui et à ce non qui, au travers de toute l’
œuvre
de Barth, nous entraînent dans une oscillation gigantesque, entre deu
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it parler longuement du « barthisme » d’une telle
œuvre
, — plus réel sans doute, parce qu’il est plus inconscient, que celui
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cher l’équivalent de la doctrine du salut par les
œuvres
, mais encore on voit ces mêmes pasteurs lire sans sourciller la confe
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e insistance Kierkegaard revient, dans toutes ses
œuvres
proprement religieuses, sur la notion de « contemporanéité » avec le
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sme, quelles pompes cultuelles ou quelles humbles
œuvres
pourront jamais nous garantir ce miracle : que l’Écriture parle, qu’e
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e certaine, une réponse qui n’est pas nôtre : « L’
œuvre
de Dieu, c’est que vous croyiez en celui qu’il a envoyé. » (Jean 6:29