1
tarder en obéissance révolutionnaire. Ceci pourra
paraître
orgueil et vanité aux yeux des hommes. Ceci n’est rien, en vérité, qu
2
Promesse et le péché, entre la foi et ce qui nous
paraît
la « défier ». Que faire donc ? Briser d’abord les idoles, menaçantes
3
bien souvent l’aspect d’une destruction. Il peut
paraître
étrange que l’on doive rappeler de telles choses, mais la raison en e
4
a croyance en une synthèse possible, voilà qui ne
paraît
point faire de doute. Ailleurs4, j’ai pu marquer mon choix et quelles
5
onsidérer comme plus réel que le spirituel. Il me
paraît
certain qu’une dialectique fondée sur l’actualité permanente de la pe
6
opposition globale à la dialectique humaniste qui
paraît
à nos yeux s’en rapprocher le plus. ⁂ Cet acte dont nous parlions, à
7
, s’il accepte ce non, l’affirmation de son salut
paraît
: il reconnaît la Vie au travers de sa mort. Si, par un souci peut-êt
8
lectique (juillet 1933)f Au cours d’un article
paru
en Suisse allemande, le professeur O.-E. Strasser déclare que le sonn
9
n de cet hymne, dont nous nous sommes inspirés, a
paru
dans la Nouvelle Revue française du 1er avril 1923 (trad. Jean de Men
10
ut autant qu’à l’individu atomique. Le vœu humain
paraît
comblé… Mais ce nous est-il autre chose qu’une moyenne entre le je de
11
une réalité humaine. ⁂ Ces considérations peuvent
paraître
assez arides, et curieusement abstraites, s’agissant du concret par e
12
la dépendance théologique d’une analyse qui peut
paraître
strictement humaine. On peut parler en termes de philosophie du rappo
14
t suivant l’ordre d’une Histoire dont la loi peut
paraître
souverainement illogique, nous voici contraints de nous arrêter : l’a
15
solennel accueillit cette brève lecture. Nicodème
paraissait
perdu dans son rêve. Ses lèvres remuaient pourtant. Il nous sembla qu
16
s yeux fixes. Mais peu à peu une vivacité fébrile
parut
s’emparer de sa voix. Nicodème. — « …Ce que nous savons, nous le dis
17
c un naturel parfait. Le monologue de Nicodème ne
paraissait
pas avoir fait grande impression sur cette enfant, trop habituée sans
18
onfrères. C’est peut-être pourquoi son langage me
parut
rendre un son d’autorité, bien qu’il fût beaucoup moins péremptoire q
19
que leur attitude la pose ? Si mes reproches leur
paraissent
porter à faux et révéler une simple méconnaissance des possibilités i
20
tion. En réalité, c’est l’Église de Rome qui nous
paraît
à cet égard abandonnée à un subjectivisme redoutable. C’est ce que l’
21
s plus manifestes des conciles ? La question peut
paraître
brutale, simpliste. Elle manque certainement d’« onction ». Est-ce as