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me actif (novembre 1932)c …que nous faisons du
paradoxe
? Non. Dieu nous est paradoxal. Le paradoxe est la réalité, ou plus e
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ns du paradoxe ? Non. Dieu nous est paradoxal. Le
paradoxe
est la réalité, ou plus exactement le paradoxe est la marque et la pr
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Le paradoxe est la réalité, ou plus exactement le
paradoxe
est la marque et la preuve de toute réalité en tant que saisie et véc
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écue, c’est-à-dire assumée par l’homme. Sortir du
paradoxe
pour s’évader dans une synthèse quelconque, rationaliste, catholique,
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uisque notre rapport à Dieu, depuis la chute, est
paradoxe
par définition. Tel est l’aspect humain de la dialectique dont il est
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ue5 et au « concept d’angoisse ». Car enfin si le
paradoxe
n’est pas dans la situation même de l’homme devant Dieu, notre foi es
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l’expression la plus directe ; si au contraire le
paradoxe
est bien réel, s’il est bien tel que l’ont formulé un Paul, un Luther
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tant que tels, l’acceptation du salut impossible,
paradoxe
dont la formule est le nom même de Jésus-Christ. La réalité centrale
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e non, nous ne pouvons que recourir au langage du
paradoxe
. Car tout autre langage traduirait l’impossible en termes de synthèse
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is on ne peut le comprendre et le vivre, dans son
paradoxe
profond, que si l’on se réfère au rapport primitif qui fonde la perso
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ce pas pour cette seule raison, où bat le cœur du
paradoxe
le plus fou, que l’Évangile nous dit : « Aimez vos ennemis » ? 6. J
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trompe son attente ; et que le panthéisme, par un
paradoxe
dont nous avons tenté de suivre la logique fatale, isole l’individu d
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ntiers sur le « terrain abstrait de l’orgueilleux
paradoxe
». Il ne nous pardonne guère de faire table rase de ce qu’il appelle
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l’appui de sa thèse : « Kierkegaard, ce prince du
paradoxe
, comme l’appelle si joliment mon ami Monod. » Selon Nicodème, le term