1 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
1 on ; ils mériteront tout au plus d’être eux-mêmes pardonnés . Ce qui nous assure le Pardon, c’est la foi. Agissez donc, mais votre
2 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Poésie dialectique (juillet 1933)
2 gue de l’époque, Soleil ou Fils. hymne à dieu le père Pardonneras -tu ce péché où j’ai pris naissance, Ce péché mien, bien qu’avant moi
3 ssance, Ce péché mien, bien qu’avant moi commis ? Pardonneras -tu ces péchés dont je suis le cours Et suis encore le cours, bien que
4 ras fini, tu n’auras rien fini Car il y a plus. Pardonneras -tu ce péché par lequel j’entraînai D’autres pécheurs, faisant de mon
5 utres pécheurs, faisant de mon péché leur porte ? Pardonneras -tu ce péché que j’ai fui Un an ou deux, où vingt ans j’ai croupi ? Qu
3 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
6 sur le « terrain concret de l’humble bon sens » ? Pardonnez -moi d’ergoter… Mais je sais bien ce que M. Monod voulait dire : il pe
7 abstrait de l’orgueilleux paradoxe ». Il ne nous pardonne guère de faire table rase de ce qu’il appelle « l’expérience chrétien
8 pour toutes, par la résurrection de Jésus-Christ. Pardonnez mon langage, peut-être trop ecclésiastique, mais je ne puis pas m’exp