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on ; ils mériteront tout au plus d’être eux-mêmes
pardonnés
. Ce qui nous assure le Pardon, c’est la foi. Agissez donc, mais votre
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gue de l’époque, Soleil ou Fils. hymne à dieu le
père Pardonneras
-tu ce péché où j’ai pris naissance, Ce péché mien, bien qu’avant moi
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ssance, Ce péché mien, bien qu’avant moi commis ?
Pardonneras
-tu ces péchés dont je suis le cours Et suis encore le cours, bien que
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ras fini, tu n’auras rien fini Car il y a plus.
Pardonneras
-tu ce péché par lequel j’entraînai D’autres pécheurs, faisant de mon
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utres pécheurs, faisant de mon péché leur porte ?
Pardonneras
-tu ce péché que j’ai fui Un an ou deux, où vingt ans j’ai croupi ? Qu
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sur le « terrain concret de l’humble bon sens » ?
Pardonnez
-moi d’ergoter… Mais je sais bien ce que M. Monod voulait dire : il pe
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abstrait de l’orgueilleux paradoxe ». Il ne nous
pardonne
guère de faire table rase de ce qu’il appelle « l’expérience chrétien
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pour toutes, par la résurrection de Jésus-Christ.
Pardonnez
mon langage, peut-être trop ecclésiastique, mais je ne puis pas m’exp