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is ce n’est pas ici du concept de la foi que nous
parlons
. C’est de la foi vivante. Or, cette foi, nul homme n’est capable de l
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veux ignorer hic et nunc. Peut-être.) Je ne veux
parler
ici que du principe de notre politique ; il est bien clair qu’elle co
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stre. Voici alors les chrétiens qui viennent nous
parler
d’une Révélation. Est-ce donc qu’une grande lumière leur est venue da
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eux s’en rapprocher le plus. ⁂ Cet acte dont nous
parlions
, à quoi se suspend-il en dernière analyse ? Vers quelles fins dernièr
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té, et la vraie joie n’est pas avec ceux qui nous
parlent
de la « tristesse » du message barthien, puisqu’ils entendent désigne
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icale s’est incarnée. Mais alors, si nous voulons
parler
en vérité d’une telle incarnation du oui dans le non, nous ne pouvons
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ort éternelle. Qu’un philosophe, qu’un moraliste,
parle
de choix, de risque et d’acte, ces mots désignent des réalités éthiqu
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de commun avec l’acte, le risque et le choix dont
parle
la théologie dans sa dialectique absolue. Il n’y a plus ici d’opérati
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aison. Traduisez-nous un peu tout cela dans notre
parler
quotidien. Nous dirons donc : Dieu premier et dernier, et ensuite seu
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se qui peut paraître strictement humaine. On peut
parler
en termes de philosophie du rapport d’un je à un tu. Mais on ne peut
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e vieil ennemi de la Genève moderne ! Il faudrait
parler
longuement du « barthisme » d’une telle œuvre, — plus réel sans doute
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déplorons poliment leurs excès ; si seulement ils
parlaient
un peu moins fort, ce serait bien édifiant de les entendre… Le seul a
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rités qui les réfutent. D’autres fois, nous avons
parlé
trop haut, à cause de quelques sourds, indisposant ceux qui ne le son
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à la Parole même de Dieu. « Autre est le temps du
parler
direct et originel de Dieu lui-même dans sa Révélation, le temps de J
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et déclare leur vraie signification19. Quand nous
parlons
des témoins de la Bible, nous n’avons pas à nous préoccuper outre mes
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e la plus profonde, la seule chose dont il puisse
parler
… Mais si c’était aussi la seule chose dont justement on ne puisse pas
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si la seule chose dont justement on ne puisse pas
parler
?… Des expériences. Oui, j’en ai fait bien d’autres. J’en parle aussi
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xpériences. Oui, j’en ai fait bien d’autres. J’en
parle
aussi, j’ai le droit d’en parler… À mon âge, j’en ai même le devoir,
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en d’autres. J’en parle aussi, j’ai le droit d’en
parler
… À mon âge, j’en ai même le devoir, vis-à-vis de cette jeunesse ! J’é
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il y a eu ceci de plus, — et moi seul je puis en
parler
… Ou bien, est-ce que moi seul, je n’aurais pas ce droit ? J’ai fait u
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uvât que trop vivement mes réserves, j’hésitais à
parler
, redoutant d’introduire un nouvel élément de discorde, quand c’était
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dit. J’entends exactement : aucun de nous ! Nous
parlons
tous avec beaucoup de conviction, mais je crois bien que nous déliron
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dème défend-il l’expérience ? Parce qu’il ne veut
parler
que de ce qu’il a vécu — et je vous ferai remarquer qu’il a vécu, de
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ssi la nôtre, et nous ferme la bouche ! » J’avais
parlé
longtemps, et non sans fièvre. Je m’arrêtai soudain, plutôt confus de
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ngoisse de Nicodème devrait nous empêcher tous de
parler
, c’est-à-dire, si je vous entends bien, devrait nous empêcher tous de
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e mesure, — humainement. Je pense que nous devons
parler
au nom de cette angoisse, — justement, en son nom ! Et non pas pour l
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râmes sur ces mots. Les « barthiens » qui avaient
parlé
regagnèrent leur lieu véritable : inventés par Wilfred Monod, ils ren
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les élaborées par les conciles, est bien forcé de
parler
un langage personnel, dont il sera toujours possible d’affirmer qu’il
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ion du Saint-Esprit, grâce auquel l’Écriture nous
parle
. Serions-nous donc d’accord ? Lisons plus loin : « Le Sauveur n’a-t-i
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notre critère, ce « vis-à-vis » de l’Église dont
parle
Barth, et auquel doit se rapporter sans cesse toute prédication vraim
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, qui se ramènent au seul danger que la Parole ne
parle
pas, que l’Esprit soit mal entendu, c’est-à-dire que la foi défaille.
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jamais nous garantir ce miracle : que l’Écriture
parle
, qu’elle parle clairement, ici et maintenant, que je la croie, que je
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rantir ce miracle : que l’Écriture parle, qu’elle
parle
clairement, ici et maintenant, que je la croie, que je lui obéisse et