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a raison d’être : « Cogitor, ergo sum. » (Je suis
pensé
…). En face d’une civilisation de plus en plus soumise à ce dieu imbéc
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res moraux et physiques. Il n’y a personne, je le
pense
, qui, laissant errer ses regards sur un horizon sans bornes, ou se pr
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tendance qu’il s’agit dans les deux cas — nous ne
pensons
qu’aux 19 siècles qui nous séparent de Jésus-homme, et que nous parve
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Mais si c’est le péché qui nous sépare de Christ,
pensons
-nous rejoindre Jésus-Christ par les artifices d’une pensée justement
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e part, il nous est impossible de nous arrêter de
penser
… Telle est l’impasse où nous conduisent non seulement la pensée « lib
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is je sais bien ce que M. Monod voulait dire : il
pense
que les jeunes « réacteurs » se placent plus volontiers sur le « terr
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icodème (sèchement). — C’est exactement ce que je
pense
. Un jeune barthien (agressif). — Ôtez la soi-disant expérience chré
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e dire des choses complètement impossibles. Je ne
pense
pas comme vous, bien que je croie vous comprendre dans une certaine m
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endre dans une certaine mesure, — humainement. Je
pense
que nous devons parler au nom de cette angoisse, — justement, en son
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’ils ne peuvent pas faire, — et c’est pourquoi je
pense
qu’on ne doit pas s’opposer au baptême des enfants, c’est-à-dire de c
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à-dire sans aucune intention polémique, ce qu’ils
pensent
d’un texte précis, et comment il se fait que le pape n’ait jamais, qu
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. On n’ose pas demander aux catholiques ce qu’ils
pensent
réellement de cette… raison, car le concile a pris soin de déclarer p