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reconnaissantes. C. F. Ramuz (Adam et Ève). La
plénitude
du monde n’est pas dans la contemplation d’un esprit immobile. La plé
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as dans la contemplation d’un esprit immobile. La
plénitude
du monde est un événement. Elle a son lieu dans la question que nous
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isse, et qu’elle nous dresse pour une réponse. La
plénitude
est un combat d’amour. Mais aimer ? C’est d’abord répondre, — c’est e
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hrétienne dit « oui » au monde avec une intrépide
plénitude
. Alors que la raison, dans son orgueil haineux, renie le monde et tro