1 tuelles, forcer certains à se retrancher dans des positions que, peut-être, ils étaient bien près d’abandonner. Il nous est indif

2 s pour cela il faudrait tout d’abord connaître la position du calvinisme dialectique en face de l’action humaine. Position, marq

3 lvinisme dialectique en face de l’action humaine. Position , marquons-le tout de suite, intenable in abstracto, intenable en logi

4 tenable en logique rationaliste, comme toutes les positions existentielles, qu’ici nous défendrons ; intenable comme le fait chré

5 ’il se voit à cette époque « dans la plus étrange position , où se puisse jamais trouver un mortel ». Mais depuis ! À mesure que

6 trois activités de Dieu bien distinctes. « Cette position différente dans la hiérarchie de Dieu distingue les trois temps d’une

7 vement naturel et perverti de nos pensées. Cette position du problème, que nous venons d’esquisser, nous permettra de situer ho

8 antithèse est forcée et que mes définitions de la position catholique ne sont pas formulées en termes catholiques. Je comprends

9 e ce genre. Et pourtant, pour peu qu’on adopte la position des catholiques eux-mêmes vis-à-vis de leurs grands docteurs, on est

10 e cette opinion commune est un négatif absolu des positions fondamentales de la Réforme. Voilà l’opposition réelle, du noir au bl

11 ou, comme je l’écrivais, son grand pouvoir. » Les positions sont nettes maintenant. Examinons alors l’origine du secret que l’Égl