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e qui s’épuise et se disqualifie dans ses efforts
pour
concilier la révélation et la psychologie, pour réfuter par des raiso
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s pour concilier la révélation et la psychologie,
pour
réfuter par des raisons humaines ces démons que seule la prière peut
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s, mais dont l’essence même implique notre effort
pour
la réaliser. Vérité donc essentiellement concrète, vérité qui ne peut
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st-à-dire assumée par l’homme. Sortir du paradoxe
pour
s’évader dans une synthèse quelconque, rationaliste, catholique, ou m
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constate au contraire que « nous sommes au monde
pour
quelque chose », mais elle oublie que ce quelque chose, notre activit
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ue ce quelque chose, notre activité, ne vaut rien
pour
notre salut. Elle se souvient que nous devons travailler à établir le
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uloir fonder dans ce monde un Royaume de Dieu qui
pour
capitale, plutôt que Genève, choisirait Détroit. Il s’agirait de s’en
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sirait Détroit. Il s’agirait de s’entendre ; mais
pour
cela il faudrait tout d’abord connaître la position du calvinisme dia
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firmer ; il n’est pas de réponse à cette question
pour
ceux qui ne savent pas ce que c’est que la foi. Si l’on entend par vi
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sont, — des hommes qui ont besoin d’une politique
pour
suppléer à leur faiblesse, qui ont besoin tout autant qu’on leur mont
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e par excellence : « Point n’est besoin d’espérer
pour
entreprendre, ni de réussir pour persévérer. » Cette absence d’illusi
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besoin d’espérer pour entreprendre, ni de réussir
pour
persévérer. » Cette absence d’illusions quant à la valeur absolue du
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se au réformisme modéré, c’est-à-dire à un effort
pour
durer par des moyens humains, comme à l’abri des touches fulgurantes
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nous tient quitte de la foi. Il ne s’agit jamais
pour
nous de rendre cette vie possible, mais tout au plus d’abattre les ob
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ir : le moment décisif, l’acte. Elle n’a de sens,
pour
nous, que parce qu’il y a la foi. c. Rougemont Denis de, « Principe
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la bonne humeur. Le sérieux ne consistera jamais,
pour
nous, dans une attitude d’humilité lugubre. Le sérieux et le respect,
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ondre, de se rendre compte de ce qu’elle signifie
pour
celui qui me la pose. Répondre du tac au tac, à la « lettre » de la q
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Évangile la confirme et l’illustre. Or, la force,
pour
le chrétien, quelle est-elle ? Il se trouve que nul homme n’est en me
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la seule acception chrétienne du mot « positif ».
Pour
les uns, « positif », c’est ce qui rapporte. Pour les autres, ce qui
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Pour les uns, « positif », c’est ce qui rapporte.
Pour
les autres, ce qui rassure. Pour le chrétien, ce sera tout ce qui tro
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ce qui rapporte. Pour les autres, ce qui rassure.
Pour
le chrétien, ce sera tout ce qui trouble en vérité les hommes et les
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nt simplement ce qu’il faut faire dans cette nuit
pour
en sortir un jour. Ils savent que le Christ leur promet la lumière à
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ate à chacun des cas de l’existence, inconcevable
pour
celui qui se place en dehors du cas. Cette révélation ne peut pas êtr
24
n éthique est toujours choix : on ne peut choisir
pour
un autre. Mais on peut, dans le cas, et pour soi-même, prouver la foi
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isir pour un autre. Mais on peut, dans le cas, et
pour
soi-même, prouver la foi par l’acte qu’elle ordonne. Nous ne somme
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e ce soit un remède. Doctrine désespérante ? Oui,
pour
ceux qui cherchent des espoirs à bon compte, hors de la réalité certa
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mettre en figures nos désirs et nos ambitions que
pour
mieux nous en révéler l’essentielle inanité. Sénèque nous apprend que
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si troublante avec les thèses barthiennes, et si
pour
cette raison précisément elles ne constituaient un terme de comparais
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se à faire voir que Barth ne saurait en être tenu
pour
l’inventeur, pas plus que Kierkegaard, pas plus que Luther et Calvin,
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Ainsi donc, il ne nous reste — émouvant spectacle
pour
ceux qui n’ont pas le vertige — qu’à rapporter constamment ces deux a
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ne fois, ne concerne que l’origine et la fin, ou,
pour
employer une expression chère à Karl Barth, se rapporte aux réalités
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dans leurs Histoires de la littérature française (
pour
ne rien dire des lamentables dédains de M. Lanson parlant de Du Barta
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Ou encore, comme le dit Keyserling, c’est l’homme
pour
lequel le prochain est devenu tout simplement « le voisin inévitable
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des religions, des êtres, si ce savoir n’est pas
pour
moi, à tel moment, un ordre ou une tentation. Quand cesserons-nous d’
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problème ? Car un problème n’est jamais réel que
pour
celui qui peut l’incarner dans sa vie, le résoudre au concret, ou bie
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is qu’une métamorphose. L’individu n’est mort que
pour
renaître dans le collectif. La mystique de la masse ou du groupe qui
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u que cette prise, cette vue, cette image, soient
pour
moi une « deuxième personne », un tu sujet d’une parole qui m’advient
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le ni concret, échappe aux prises de leurs mains.
Pour
chacun d’eux, le tu es devenu le nous, c’est-à-dire a cessé d’être le
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à la force vivante, — et l’on institue la police
pour
soutenir un corps social qui s’abandonne ; enfin la police décrète qu
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, à mi-distance l’un de l’autre — dans le nous 8.
Pour
nous aimer, nous devons faire chacun tout le chemin qui nous sépare l
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en moi, que nous devenons deux personnes, et l’un
pour
l’autre le prochain. Ainsi le phénomène personnel demeure situé dans
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ude, n’est-ce pas, en définitive, parce qu’il est
pour
moi, à tel instant, le symbole réel de Celui qui nous a dit : « En vé
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oi qu’il me demande, fût-ce ma mort, n’est-ce pas
pour
cette seule raison, où bat le cœur du paradoxe le plus fou, que l’Éva
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e la Nature vit. Coleridge. Car nous sommes là
pour
deviner les choses dans leurs natures particulières : alors elles nou
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s leur véritable angoisse, et qu’elle nous dresse
pour
une réponse. La plénitude est un combat d’amour. Mais aimer ? C’est d
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mbrables de l’univers, et son recours à la raison
pour
leur imposer le silence. Ordre géométrique, loi des choses muettes, m
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e fuite en avant, autant de tentatives angoissées
pour
opposer à la terreur de Pan les ordonnances dictatoriales de l’esprit
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e illusion d’orgueil. Le grand Pan n’est pas mort
pour
si peu, et sa domination terrifie les provinces autour de la cité. ⁂
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Empédocle n’a rien sauvé. Je garde ma raison. Et,
pour
le reste, sacrifions aux dieux. ⁂ Un panthéisme angoissé, ressort d’u
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la Loi, à cause de la Loi. Rachetés, mais non pas
pour
ce temps. Restaurés, mais non pas dans la forme visible de ce monde.
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dernier mot a été prononcé. ⁂ L’effort de l’homme
pour
imposer au monde — mais sans comprendre sa question — un ordre « huma
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ne peut plus rien faire ici-bas d’utile et de bon
pour
autrui ni pour soi ». Enfin, il précise qu’on y atteint le mieux couc
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en faire ici-bas d’utile et de bon pour autrui ni
pour
soi ». Enfin, il précise qu’on y atteint le mieux couché dans un bate
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simple que d’imaginer que cet effort de la nature
pour
pénétrer en nous n’est pas sans une mystérieuse signification ? » L’a
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ont prêché16, il se trouve encore des protestants
pour
ne pas croire que la Cène est une simple commémoration symbolique. Ma
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e vin, il y a la présence réelle du Seigneur mort
pour
nous, impies ? Peut-être le fidèle d’aujourd’hui n’a-t-il plus, comme
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quelques phrases, d’un mot rendu à son vrai sens,
pour
orienter le débat intérieur, pour donner à telle problématique l’expr
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son vrai sens, pour orienter le débat intérieur,
pour
donner à telle problématique l’expression qui lui manquait, et dont l
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traités. Dans le petit espace dont nous disposons
pour
aborder de si grands sujets, force nous est de condenser, de couper c
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à l’acte de l’Esprit. Le scandale s’évanouirait,
pour
faire place à une adhésion raisonnable et éclairée. Mais en même temp
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la « contemporanéité » de Kierkegaard. Il a bien
pour
objet de nous rendre, d’une façon ou d’une autre, « contemporains » d
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on de Jésus-Christ. Mais ne jouons pas sur le mot
pour
faire dire à Kierkegaard exactement le contraire de ce qu’il entendai
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ndait. Car il est évident que notre double effort
pour
nous re-présenter Jésus, soit en nous transportant à son époque, soit
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ais faut-il le redire ? La théologie n’est pas là
pour
résoudre concrètement nos problèmes. Elle a pour but de les poser, de
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pour résoudre concrètement nos problèmes. Elle a
pour
but de les poser, de nous donner un instrument critique qui nous renv
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t donc Nicodème, et tel est son aspect vénérable.
Pour
ses qualités d’âme, j’espère que ce récit d’une soirée passée dans so
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atières ! —, un jugement si désobligeant, dis-je,
pour
l’un de mes collègues et amis les plus chers. Je serais fort curieux
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osophique « importée d’Allemagne », inassimilable
pour
nos « clairs esprits latins », et qui, d’ailleurs, signifiait, au péd
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it un grand geste de ses deux bras levés, — comme
pour
bénir les circonstants, — et soudain, cachant sa figure vénérable, il
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vénérable, il sortit. ⁂ Cette scène, si imprévue
pour
la plupart des hôtes de ce soir-là, ne laissa pas de nous plonger dan
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pouvoir sauver les hommes autrement qu’en mourant
pour
eux”. Que pourrions-nous donc faire de plus que lui ? L’imitation du
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elle soit possible ! Ne riez pas de leurs efforts
pour
remplacer cette unique expérience par d’autres expériences qu’ils app
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monde troublé, où la parole n’a plus le même sens
pour
tous. C’est pourquoi nous multiplions les commentaires, et par là mêm
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te angoisse, — justement, en son nom ! Et non pas
pour
la condamner ou la nier dès le principe ! Car je reconnais avec vous
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ent. Voici donc, en peu de mots, ce que je crois,
pour
mon compte. L’angoisse de Nicodème trouve sa résolution dans le Baptê
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Cène n’ont aucune espèce d’importance. Dieu fait
pour
nous, à ce moment, ce que Nicodème et tous les hommes reconnaissent q
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périence-là nous reste à jamais impossible, c’est
pour
cela qu’il faut la croire ! Et l’attester sans l’avoir vue. C’est pou
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la croire ! Et l’attester sans l’avoir vue. C’est
pour
cela qu’il faut prêcher, dans la crainte et le tremblement, son espér
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s conforme à la probité historique et plus fécond
pour
la théologie de mettre en regard du catholicisme romain le protestant
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respondre une objection de ce genre. Et pourtant,
pour
peu qu’on adopte la position des catholiques eux-mêmes vis-à-vis de l
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alement, faute du concile qui aurait seul qualité
pour
m’éclairer, et qu’on ne saurait convoquer pour si peu, j’ai recours à
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té pour m’éclairer, et qu’on ne saurait convoquer
pour
si peu, j’ai recours à quelque « Enchiridion », ou recueil des formul
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1° que cela tient à ce que cette « lettre » est,
pour
nous tout au moins, pratiquement insaisissable ; 2° que cette « lettr
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rive à se demander pourquoi le Christ a dû mourir
pour
triompher de notre péché, alors que la sagesse antique pouvait fourni
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lation progressive : termes transitifs introduits
pour
voiler, pour atténuer les scandales réels, et pour relier rationnelle
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ssive : termes transitifs introduits pour voiler,
pour
atténuer les scandales réels, et pour relier rationnellement ce que l
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our voiler, pour atténuer les scandales réels, et
pour
relier rationnellement ce que le péché a séparé. Est-ce que je me tro
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pape n’ait jamais, que je sache, condamné Bossuet
pour
avoir écrit ce qui suit. (C’est au sujet de la Messe, pour expliquer
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r écrit ce qui suit. (C’est au sujet de la Messe,
pour
expliquer que les catholiques la célèbrent tout autrement que le Chri
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ondit simplement : « Bossuet ne saurait être tenu
pour
un Père de l’Église que par un académicien ! » Boutade, en vérité, ma
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pond : non, Dieu seul connaît ce qui est de Dieu.
Pour
nous, ne connaissons de la volonté de Dieu que ce qu’il lui a plu de
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voir [aux apôtres] qu’il leur laissait son Église
pour
être une fidèle interprète de ses volontés, et une sûre dispensatrice
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sommes d’accord. L’Église véritable est bien cela
pour
nous aussi. Nous ajouterons une simple précision : elle est la « sûre
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me « subjectif ». Et tout en mentionnant la Bible
pour
mémoire — « ces pâles écrits », dira le père Pinard de la Boullaye à
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nt négligé qu’il n’y aura pas grand-chose à faire
pour
le ruiner plus tard en droit. C’est ce que fit le concile du Vatican
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la Bible, alors qu’ils ont tout fait de leur côté
pour
évincer ou, en tout cas, pour relativiser ce seul critère ? Comprenne
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t fait de leur côté pour évincer ou, en tout cas,
pour
relativiser ce seul critère ? Comprennent-ils toute la gravité de la
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jective » les docteurs catholiques se sont fondés
pour
opposer à la tradition de leur temps (qui était encore le « Buvez-en
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n jour peuvent le croire ? Sommes-nous déjà prêts
pour
cette unité ? 22. Je ne veux envisager que la controverse sérieuse.
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de dogme aussi importants que la prédestination (
pour
Augustin) ou l’Immaculée Conception de la Vierge (pour Thomas d’Aquin
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Augustin) ou l’Immaculée Conception de la Vierge (
pour
Thomas d’Aquin), par exemple. 26. Le plus étonnant, aux yeux d’un pr
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eux aussi, des critères tout à fait intéressants
pour
interpréter les évangiles… 27. Méthode dont je crains bien qu’elle n
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s 1 et 2. La seule raison alléguée par ce concile
pour
interdire la communion sous les deux espèces est celle-ci : Jésus a d