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t espoir qui ne serait pas le seul espoir ; toute
promesse
qui ne serait pas la seule promesse : espoir et promesse de la foi, —
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spoir ; toute promesse qui ne serait pas la seule
promesse
: espoir et promesse de la foi, — et la foi naît au cœur du désespoir
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e qui ne serait pas la seule promesse : espoir et
promesse
de la foi, — et la foi naît au cœur du désespoir. Mais, d’autre part,
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l’absurde et au martyre, à l’« agonie » entre la
Promesse
et le péché, entre la foi et ce qui nous paraît la « défier ». Que fa
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réalité certainement désespérante. Mais il y a la
Promesse
, mais il y a la foi qui vient nous prendre au point où tout espoir ap
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fondément dans le non que dans le oui » ; mais la
promesse
qui nous est faite dans l’instant de la foi, c’est la promesse de la
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nous est faite dans l’instant de la foi, c’est la
promesse
de la victoire éternelle. ⁂ Loin de moi la prétention d’avoir, par ce
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poir infini au sein du désespoir et la joie de la
Promesse
invisible, — cette vision donnée à l’homme, est la plus propre à crée
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n11. ⁂ Le Nouvel Adam vit : il ne vit que dans la
promesse
. Cette Promesse est certaine, mais son accomplissement est hors du te
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Adam vit : il ne vit que dans la promesse. Cette
Promesse
est certaine, mais son accomplissement est hors du temps, bien plus,
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e chrétienne. Elles sont, avec les sacrements, la
promesse
de l’accomplissement en Christ — déjà venu et qui revient ! — de ce q