1 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Hic et nunc [éditorial] (novembre 1932)
1 es, il y a lieu et ordre d’attester avec l’un des prophètes de ce temps, que la raison d’un homme n’est pas sa raison d’être : « 
2 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Éditorial (juillet 1934)
2 majorité des auditeurs. Nous ne lapidons plus les prophètes  : nous savons respecter leur talent ! Nous déplorons poliment leurs e
3 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
3 st est la Parole de Dieu (Jean i). Les écrits des prophètes et des apôtres — l’Ancien et le Nouveau Testament — sont les témoigna
4 s-Christ, le temps de celui qui a été annoncé aux prophètes et aux apôtres pour qu’ils en témoignent ensuite, — autre est le temp
5 temps de la prédication dérivée de la parole des prophètes et des apôtres, orientée vers cette parole et recevant d’elle sa norm
6 : il ne le reconnaît pas, il ne voit en lui qu’un prophète , il n’est pas son contemporain. Les disciples d’Emmaüs ont beau chemi
4 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
7 de ce mystère étourdissant. Nicodème a reconnu un prophète , il l’a formellement reconnu. Il est allé le voir, parce qu’il savait
8 u. Il est allé le voir, parce qu’il savait que ce prophète , Jésus, “était venu de la part de Dieu”. Comment le savait-il ? Parce