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ous n’en sommes pas là : Hic et nunc, nous voici,
protestants
, en face de deux solutions synthétiques « possibles », imposantes, ét
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la seule attitude politique que puisse adopter le
protestant
: la politique du pessimisme actif, — ou si l’on veut de l’activisme
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est en vous.15 » On n’oserait pas affirmer que le
protestant
d’aujourd’hui, dans la moyenne, soit trop bien appareillé. Il advient
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réformateurs combattirent le plus âprement. Le «
protestant
moyen » affirme son attachement au libre examen dans la mesure où cel
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ois si nos temples sont encore fréquentés par des
protestants
, et si la prédication de Calvin ressuscité y provoquerait autre chose
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rtains leur ont prêché16, il se trouve encore des
protestants
pour ne pas croire que la Cène est une simple commémoration symboliqu
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Christ » d’une part, et les dangers de déviations
protestantes
de l’autre23. L’on verrait mieux que l’opposition réelle est entre la
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ique romaine. On pourrait remarquer que le fidèle
protestant
a, sur le fidèle catholique, l’avantage sans prix d’avoir toujours à
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prime une sorte de pitié : « À quoi s’appuiera le
protestant
, avec, pour tout guide, une Bible… ou le témoignage intérieur du Sain
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par exemple. 26. Le plus étonnant, aux yeux d’un
protestant
, c’est peut-être le critère de cohérence dont un prêtre me disait réc