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e départ dans ces idées mêmes, mais bien dans une
réalité
qui les domine et qui les juge, en même temps que nous-mêmes. Avant t
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Non. Dieu nous est paradoxal. Le paradoxe est la
réalité
, ou plus exactement le paradoxe est la marque et la preuve de toute r
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t le paradoxe est la marque et la preuve de toute
réalité
en tant que saisie et vécue, c’est-à-dire assumée par l’homme. Sortir
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iste, catholique, ou marxiste, c’est sortir de la
réalité
même. Car la réalité est précisément ce qui nous met en relation pers
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marxiste, c’est sortir de la réalité même. Car la
réalité
est précisément ce qui nous met en relation personnelle et immédiate
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ui cherchent des espoirs à bon compte, hors de la
réalité
certainement désespérante. Mais il y a la Promesse, mais il y a la fo
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r par où la personne accède à une plus dangereuse
réalité
. Ceci peut rappeler le jeune Hegel, mais s’oppose nettement au Hegel
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te simplement à rapporter tous ces problèmes à la
réalité
de Dieu telle qu’elle nous apparaît, c’est-à-dire au problème de tous
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nt la formule est le nom même de Jésus-Christ. La
réalité
centrale d’une telle dialectique est formulée dans ce passage de Bart
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ter un instant sur le oui ou sur le non. » Car la
réalité
dépassera toujours le oui et le non, et ce que, de leur simultanéité,
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a voie logique. C’est pourtant cette inconcevable
réalité
qui donne un sens si grave à ce oui et à ce non qui, au travers de to
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ailleurs bien équivoque, puisque tout cela n’a de
réalité
que dans l’instant éternel, dans le contact mortel du temps et de l’é
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ne expression chère à Karl Barth, se rapporte aux
réalités
dernières. Qu’y a-t-il donc entre ce non dernier et tous nos sic et n
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hoix, de risque et d’acte, ces mots désignent des
réalités
éthiques qui n’ont rien de commun avec l’acte, le risque et le choix
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de ses termes, désignant au-delà d’elle-même une
réalité
d’un autre ordre et que les mots n’atteignent jamais directement ?… N
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i. Il n’y a pas au monde un seul problème dont la
réalité
dernière, dont l’existence déborde les limites de l’incarnation perso
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ndent pas compte de l’être personnel, ni d’aucune
réalité
humaine. ⁂ Ces considérations peuvent paraître assez arides, et curie
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e encore une indifférence morbide à l’endroit des
réalités
naturelles et de l’« attente ardente » des créatures. De la séparatio
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être le seul auteur qui situe le problème dans sa
réalité
. Lisons ses Réflexions sur le Théâtre allemand. Il y décrit un état d
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re inconnue à lui-même », il en fait aussitôt une
réalité
psychologique, « et qui tient à la fois des sens et de la pensée ». I
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lle pas, elle aussi, dans ce refus de croire à la
réalité
tout invisible de « l’homme nouveau » — réalité de foi ? ⁂ Seule, l’a
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a réalité tout invisible de « l’homme nouveau » —
réalité
de foi ? ⁂ Seule, l’attitude chrétienne dit « oui » au monde avec une
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ure dans le sens paulinien, et « naturalise » les
réalités
eschatologiques. 14. « La nature n’a point fait de l’homme un être i
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e à retomber soudain, profondément déçus, dans la
réalité
profane d’aujourd’hui. Nous oublions tout simplement ce fait : c’est
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trument critique qui nous renvoie sans cesse à la
réalité
, qui nous inquiète, et qui corrige le mouvement naturel et perverti d
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entendu que tout cela n’exprime encore que notre
réalité
humaine. L’important, c’est qu’une instance critique impitoyable domi
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une certaine politesse bourgeoise stérilise toute
réalité
chrétienne. Cependant, les esprits s’échauffaient peu à peu. Les répl
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transition, un terme transitif insinué entre des
réalités
radicalement hétérogènes. Si l’on croit sérieusement que le sacrifice
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, fût-il « déduit » de la Révélation, ne voile la
réalité
de l’abîme, et ne détourne les fidèles de cette seule chose nécessair