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lan de refus ou de tendresse. En vérité, point de
séparation
réelle, jamais de vide entre moi et le monde, non, rien que la tensio
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isé dans ses effets bons et mauvais par le mot de
séparation
. D’une part, il constitue le ressort de toute invention ; et le symbo
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et de l’« attente ardente » des créatures. De la
séparation
tragique, maintenant consommée, il ne subsiste en l’homme nulle consc
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c la Nature, révèlerait encore qu’il pressent une
séparation
dont, par ailleurs, son optimisme, hérité d’une foi morte, lui dissim