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r réfuter par des raisons humaines ces démons que
seule
la prière peut délivrer d’eux-mêmes ; en face d’une pensée religieuse
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duction, il y a lieu et ordre d’attester qu’« une
seule
chose est nécessaire ». Et qu’heureux sont les pauvres en esprit. ⁂ N
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t même insupportable, si nous n’avions le Christ,
seul
médiateur et seul espoir, seulement accessible au plus profond du dés
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le, si nous n’avions le Christ, seul médiateur et
seul
espoir, seulement accessible au plus profond du désespoir et de la nu
5
us profond du désespoir et de la nuit, par la foi
seule
, — qui ne vient pas de nous. Telle est la démarche paradoxale, « dial
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e : elle rejette tout espoir qui ne serait pas le
seul
espoir ; toute promesse qui ne serait pas la seule promesse : espoir
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seul espoir ; toute promesse qui ne serait pas la
seule
promesse : espoir et promesse de la foi, — et la foi naît au cœur du
8
ienne rejette tout désespoir qui ne serait pas le
seul
désespoir réel : celui qui dévaste la nature humaine jusqu’à ces prof
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e si nécessaire. Telle est, dans son principe, la
seule
attitude politique que puisse adopter le protestant : la politique du
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mêle au tragique quotidien comme un rappel de la
seule
grandeur transcendante. Nous ne sommes pas condamnés au succès, mais
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avec politesse sur nos intentions et nos buts, à
seule
fin de « causer un peu ». Qu’on les reconnaisse à ce signe : dès qu’i
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in et la soif d’une telle force. Et voilà bien la
seule
acception chrétienne du mot « positif ». Pour les uns, « positif », c
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es rend enfin responsables dans l’obéissance à la
seule
force nécessaire ; tout ce qui leur fiche un désespoir pour une fois
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pondre, en principe. Il ne peut que renvoyer à la
seule
force d’où provient l’ordre véritable. La décision éthique est toujou
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l’homme qui pose des questions, mais c’est Dieu,
seul
Sujet. Et alors l’homme, enfin, devient responsable3 devant Dieu et d
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oire ils ont cru payer leur salut, — telle est la
seule
tâche véritablement positive que notre effort, ici, peut s’assigner s
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ostile du monde ambiant. Elle ne veut ni la thèse
seule
, ni l’antithèse seule, et bien moins encore la synthèse. Elle veut le
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t. Elle ne veut ni la thèse seule, ni l’antithèse
seule
, et bien moins encore la synthèse. Elle veut le risque permanent, l’a
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n, il faudrait dire qu’ici la synthèse précède et
seule
provoque l’antithèse, dont le sens n’est pourtant donné que par la th
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tension des contradictoires qu’elle saisit en une
seule
image, indiquant par cette image beaucoup plus que ce qu’il y a dans
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, ou bien périr par lui. Il n’y a pas au monde un
seul
problème dont la réalité dernière, dont l’existence déborde les limit
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emin qui nous sépare l’un de l’autre. Et c’est au
seul
moment où je t’atteins en toi, où tu m’atteins en moi, que nous deven
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ux et spirituels. C’est en elle, et c’est en elle
seule
, qu’ils provoquent un écho humain. C’est en elle enfin que s’opère l’
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ité, toutes les fois que vous avez fait cela à un
seul
des plus petits parmi mes frères que voici, c’est à moi que vous l’av
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demande, fût-ce ma mort, n’est-ce pas pour cette
seule
raison, où bat le cœur du paradoxe le plus fou, que l’Évangile nous d
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du Grand Pan (avril 1934)i C’est en notre vie
seule
que la Nature vit. Coleridge. Car nous sommes là pour deviner les
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r. Je n’existe que par cette tension. Elle est ma
seule
différence et je n’échappe point au règne naturel. L’indifférence d’u
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ui n’est pas celui des humains, c’est à la raison
seule
qu’il se révèle, et ce n’est plus la peur du sang qui lui répond, mai
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enant dans ses architectures, l’homme se retrouve
seul
aux prises avec lui-même. Autarchie rationnelle. Il a mauvaise consc
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e subsiste en l’homme nulle conscience effective.
Seul
, le désir qu’il dit avoir de « communier » avec la Nature, révèlerait
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èce-là de paganisme rassuré n’est pas le fait des
seuls
païens de notre époque. Le recours aux émotions fortes que la Nature
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ndre au pathétique existentiel de la question. Un
seul
, peut-être, a pressenti le sens chrétien de la Nature, c’est Benjamin
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d’un hellénisme style Empire — voilà peut-être le
seul
auteur qui situe le problème dans sa réalité. Lisons ses Réflexions s
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sible de « l’homme nouveau » — réalité de foi ? ⁂
Seule
, l’attitude chrétienne dit « oui » au monde avec une intrépide plénit
35
t l’autre divisent l’homme en esprit et en corps,
seul
l’amour d’espérance, charité de la foi, nous permet d’apporter à la N
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de nos églises, qui proclame le salut par la foi
seule
. Bien plus, quand un théologien fidèle vient rappeler avec force l’ex
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fort, ce serait bien édifiant de les entendre… Le
seul
avantage de cette situation, c’est qu’elle a quelque peu immunisé les
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tat « moral » insuffisant ; mais sait-il bien que
seul
l’aveu de sa totale insuffisance morale lui donne le droit de saisir
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e au temps de la présence. Ou encore : c’est Dieu
seul
qui peut faire passer l’homme d’un temps à l’autre, c’est par le « bo
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s à l’autre, c’est par le « bon plaisir » de Dieu
seul
que nous pouvons devenir contemporains de sa Parole. Nicodème a beau
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u de l’Église dans notre temps. Il dépend de Dieu
seul
, et nullement de nos efforts, que nous passions de notre temps à ce t
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s. Dans un certain sens, on peut dire que l’échec
seul
de ces efforts leur confère, s’il est déclaré expressément, s’il est
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ent juste, ce qu’il dit, ne trouvez-vous pas ? La
seule
expérience qu’on fait, c’est qu’on n’a pas d’expérience… Je n’osais p
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au-dessous des autres. On s’imagine qu’on est la
seule
qui n’a pas fait ces expériences. À la fin, c’est déprimant ! Nicodè
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de ses yeux, son expérience la plus profonde, la
seule
chose dont il puisse parler… Mais si c’était aussi la seule chose don
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e dont il puisse parler… Mais si c’était aussi la
seule
chose dont justement on ne puisse pas parler ?… Des expériences. Oui,
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te ! Mais voilà… il y a eu ceci de plus, — et moi
seul
je puis en parler… Ou bien, est-ce que moi seul, je n’aurais pas ce d
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i seul je puis en parler… Ou bien, est-ce que moi
seul
, je n’aurais pas ce droit ? J’ai fait une expérience de plus, j’ose l
49
ins viennent aujourd’hui prétendre que c’est cela
seul
qui compte, et qu’ils font table rase de tout le reste ! Comme s’ils
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en soit, d’ailleurs, de toutes ces métaphores, le
seul
fait qui demeure, c’est celui que Barth exprimait si magnifiquement d
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me qu’il est un homme religieux. Il a raison ! La
seule
religion qui tienne, c’est la religion vécue, c’est-à-dire expériment
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devant l’apparition du souvenir terrible de cette
seule
expérience impossible, humainement impossible, à jamais, religieuseme
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ent l’expérience, sachant bien, cependant, que la
seule
expérience décisive est justement la seule chose impossible et dont i
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que la seule expérience décisive est justement la
seule
chose impossible et dont ils nient, en toute sincérité, qu’elle soit
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ntre un homme qui nie l’Expérience, l’Unique — la
seule
chose nécessaire —, et un homme qui l’affirme unique, sans cependant
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t, à la fois dans l’angoisse et dans la joie : la
seule
expérience nécessaire. Oui, cette expérience-là nous reste à jamais i
57
quatre siècles d’une tradition que l’on réduit au
seul
domaine français, sans même compter que nos églises ont subi de telle
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primatur. Finalement, faute du concile qui aurait
seul
qualité pour m’éclairer, et qu’on ne saurait convoquer pour si peu, j
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ire aux écrits d’Augustin ou de Thomas d’Aquin25,
seuls
témoignages qui nous restent de la « personne » de ces saints… On po
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é de l’abîme, et ne détourne les fidèles de cette
seule
chose nécessaire, de cette foi au seul moyen de salut qui ait été don
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de cette seule chose nécessaire, de cette foi au
seul
moyen de salut qui ait été donné aux hommes. Il en va de même du purg
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Réforme, par Luther et Calvin, répond : non, Dieu
seul
connaît ce qui est de Dieu. Pour nous, ne connaissons de la volonté d
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n’entendez pas que c’est l’Église, et non pas la
seule
Écriture, qui sait le secret de Jésus-Christ ! — Et d’où l’a-t-elle a
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rement dit, on nous plaint d’être abandonnés à la
seule
inspiration de l’Esprit, à laquelle on n’accorde aucun pouvoir réel d
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ut donc admettre ou bien que les conciles sont le
seul
critère des conciles ; ou bien que l’Esprit saint est le seul critère
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des conciles ; ou bien que l’Esprit saint est le
seul
critère de l’Esprit saint. Le premier terme de l’alternative revient
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pour évincer ou, en tout cas, pour relativiser ce
seul
critère ? Comprennent-ils toute la gravité de la question ? ⁂ En véri
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e « Buvez-en tous ») un démenti formel (le prêtre
seul
peut en boire), devenu par la suite partie intégrante de la nouvelle
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us les « dangers », possibles, qui se ramènent au
seul
danger que la Parole ne parle pas, que l’Esprit soit mal entendu, c’e
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t, trop humainement assurée — nous n’avons qu’une
seule
réponse, mais une réponse certaine, une réponse qui n’est pas nôtre :
71
(16 juli 1562) Cap. 1 et 2, et Canones 1 et 2. La
seule
raison alléguée par ce concile pour interdire la communion sous les d