1 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Éditorial (juillet 1934)
1 a piété de nos églises au cours des deux derniers siècles . Non seulement on voit des pasteurs prêcher l’équivalent de la doctri
2 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
2 riciste, qui tend à nous faire croire qu’après 19 siècles de christianisme, le « scandale » du Christ s’est atténué. Cette long
3 git dans les deux cas — nous ne pensons qu’aux 19 siècles qui nous séparent de Jésus-homme, et que nous parvenons plus ou moins
4 c’est qu’entre le Christ et nous, il n’y a pas 19 siècles , mais une éternité ; il n’y a pas une certaine quantité de temps et d
5 pas différenciés seulement par l’éloignement des siècles et l’évolution historique de l’humanité. Ils résultent d’attitudes di
3 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
6 2 avec la Réforme, en France : on oppose dix-neuf siècles de tradition universelle — dont quinze nous sont communs d’ailleurs a
7 mmuns d’ailleurs avec l’Église romaine — à quatre siècles d’une tradition que l’on réduit au seul domaine français, sans même c
8 r le Saint-Esprit et par la tradition de tous les siècles , elle sait ce que Jésus-Christ a voulu faire… Comme je citais cette
9 r le Saint-Esprit et par la tradition de tous les siècles , elle sait ce que Jésus-Christ a voulu faire. Elle a donc le pouvoir
10 r le Saint-Esprit et par la tradition de tous les siècles , elle sait ce que Jésus-Christ a voulu faire ». (Elle sait même qu’il
11 .) Qu’est-ce donc que cette tradition de tous les siècles  ? C’est, nous répond l’Enchiridion symbolorum et definitionum de Denz