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a piété de nos églises au cours des deux derniers
siècles
. Non seulement on voit des pasteurs prêcher l’équivalent de la doctri
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riciste, qui tend à nous faire croire qu’après 19
siècles
de christianisme, le « scandale » du Christ s’est atténué. Cette long
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git dans les deux cas — nous ne pensons qu’aux 19
siècles
qui nous séparent de Jésus-homme, et que nous parvenons plus ou moins
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c’est qu’entre le Christ et nous, il n’y a pas 19
siècles
, mais une éternité ; il n’y a pas une certaine quantité de temps et d
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pas différenciés seulement par l’éloignement des
siècles
et l’évolution historique de l’humanité. Ils résultent d’attitudes di
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2 avec la Réforme, en France : on oppose dix-neuf
siècles
de tradition universelle — dont quinze nous sont communs d’ailleurs a
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mmuns d’ailleurs avec l’Église romaine — à quatre
siècles
d’une tradition que l’on réduit au seul domaine français, sans même c
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r le Saint-Esprit et par la tradition de tous les
siècles
, elle sait ce que Jésus-Christ a voulu faire… Comme je citais cette
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r le Saint-Esprit et par la tradition de tous les
siècles
, elle sait ce que Jésus-Christ a voulu faire. Elle a donc le pouvoir
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r le Saint-Esprit et par la tradition de tous les
siècles
, elle sait ce que Jésus-Christ a voulu faire ». (Elle sait même qu’il
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.) Qu’est-ce donc que cette tradition de tous les
siècles
? C’est, nous répond l’Enchiridion symbolorum et definitionum de Denz