1 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
1 onné hostile du monde ambiant. Elle ne veut ni la thèse seule, ni l’antithèse seule, et bien moins encore la synthèse. Elle v
2 que signifie la coefficience en nous-mêmes de la thèse et de l’antithèse. Avec Kierkegaard, elle répète que « toute prétenti
3 Je ne me serais pas attardé à développer ici ces thèses , si dans leur expression elles ne comportaient, à première vue, une s
4 emière vue, une similitude si troublante avec les thèses barthiennes, et si pour cette raison précisément elles ne constituaie
5 èse, dont le sens n’est pourtant donné que par la thèse simultanée. Chronologie d’ailleurs bien équivoque, puisque tout cela
6 ui précède et dépasse à la fois l’antithèse et la thèse , et dont toutes les deux procèdent ? Langage affreux, dira-t-on non s
2 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
7 oir, ni toucher, ni comprendre humainement. Cette thèse de Kierkegaard, sous la forme polémique et non systématique qu’il lui
8 maints exemples de mise au point théologique des thèses parfois fort équivoques de Kierkegaard. Le plus frappant est peut-êtr
3 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
9 certaines paroles de Kierkegaard à l’appui de sa thèse  : « Kierkegaard, ce prince du paradoxe, comme l’appelle si joliment m
10 plaisir si les arguments invoqués à l’appui de sa thèse , assez juste, eussent été d’une autre nature que ceux de M. Dürrleman
11 monde et à soi-même, comme s’il s’agissait là de thèses à imposer ! Nicodème le disait : On croirait que c’est vous qui exige
4 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
12 est tout à fait personnelle, et l’on m’oppose une thèse thomiste ; laquelle est, à son tour, contestée par un Newman ou un La
13 -Esprit ». C’est simplement la condamnation de la thèse inverse de Luther ! De même l’article suivant : « Faire la guerre aux