1 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Éditorial (juillet 1934)
1 êteté, elle devrait provoquer le scandale chez la très grande majorité des auditeurs. Nous ne lapidons plus les prophètes :
2 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
2 de est l’un de ceux qui préoccupent le plus, et à très juste titre, nos jeunes barthiens, kierkegaardiens et « réacteurs » d
3 érence. Nicodème. — Peu importe. C’est en effet, très exactement, mon point de vue, que mon ami Monod exprime ici. Le terra
4 ! (Se tournant vers un groupe de jeunes barthiens très excités qui échangent dans un coin des coups de coude significatifs.)
5 t usé. — Vous avez dit — commença-t-il d’une voix très calme — que l’angoisse de Nicodème devrait nous empêcher tous de parl
3 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
6 nous permettent de relever tout d’abord un défaut très courant de la controverse22 avec la Réforme, en France : on oppose di
7 tholiques. Je comprends parfaitement à quel souci très légitime d’honnêteté, à quelle crainte très légitime de me voir comba
8 souci très légitime d’honnêteté, à quelle crainte très légitime de me voir combattre une caricature peut correspondre une ob
9 e par un académicien ! » Boutade, en vérité, mais très « catholique » je le crains, si la « prudence » catholique consiste,
10 nos écrivains, s’appelassent-ils Paul Claudel. Ce très grand poète est l’auteur des plus monumentales âneries qui aient jama