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êteté, elle devrait provoquer le scandale chez la
très
grande majorité des auditeurs. Nous ne lapidons plus les prophètes :
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de est l’un de ceux qui préoccupent le plus, et à
très
juste titre, nos jeunes barthiens, kierkegaardiens et « réacteurs » d
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érence. Nicodème. — Peu importe. C’est en effet,
très
exactement, mon point de vue, que mon ami Monod exprime ici. Le terra
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! (Se tournant vers un groupe de jeunes barthiens
très
excités qui échangent dans un coin des coups de coude significatifs.)
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t usé. — Vous avez dit — commença-t-il d’une voix
très
calme — que l’angoisse de Nicodème devrait nous empêcher tous de parl
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nous permettent de relever tout d’abord un défaut
très
courant de la controverse22 avec la Réforme, en France : on oppose di
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tholiques. Je comprends parfaitement à quel souci
très
légitime d’honnêteté, à quelle crainte très légitime de me voir comba
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souci très légitime d’honnêteté, à quelle crainte
très
légitime de me voir combattre une caricature peut correspondre une ob
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e par un académicien ! » Boutade, en vérité, mais
très
« catholique » je le crains, si la « prudence » catholique consiste,
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nos écrivains, s’appelassent-ils Paul Claudel. Ce
très
grand poète est l’auteur des plus monumentales âneries qui aient jama