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s de laquelle toute méditation constructive reste
vaine
, évasive et mortelle. Nous sommes au monde, nous ne sommes pas du mon
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ent nous prendre au point où tout espoir apparaît
vain
, — en ce point justement, et nulle part ailleurs. On nous demande des
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uation même de l’homme devant Dieu, notre foi est
vaine
et c’est perdre son temps que d’en apprécier humainement l’expression
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au travers de sa mort. Si, par un souci peut-être
vain
, en tous cas dangereux, de simplification formelle, nous revenions au
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s forme de sermons, sont par eux-mêmes absolument
vains
, s’ils prétendent, à force d’habileté, de science, de poésie ou d’élo
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dus. Et c’est aussi pourquoi nos disputes sont si
vaines
… Minuit sonna, dans ce silence. Il était temps de prendre congé de no
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on : celle qui n’est pas une « autre source », un
vain
renfort humain, mais la suite des témoignages rendus par l’Église his