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sans discussion et sans appel. Et c’est peut-être
vis-à-vis
d’eux seulement que notre politique pourra se fixer un programme : la
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es devenu le nous, c’est-à-dire a cessé d’être le
vis-à-vis
qui pose une question directe, — le prochain. Il a cessé d’être un de
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e comme une alternative extérieure à son être, un
vis-à-vis
dont il pourrait se détourner, cette indifférence n’est rien que le r
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rigand qui refuse. Christ, dans son temps, est le
vis-à-vis
absolu des apôtres dans leur temps. Et de même, le témoignage des apô
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même, le témoignage des apôtres, la Bible, est le
vis-à-vis
absolu de l’Église dans notre temps. Il dépend de Dieu seul, et nulle
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ivant, pensée « chrétienne ». Et ces témoins, ces
vis-à-vis
, nous jugent, ce n’est pas nous qui les jugeons. Leurs erreurs même n
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oublie simplement qu’elle est notre critère, ce «
vis-à-vis
» de l’Église dont parle Barth, et auquel doit se rapporter sans cess