1 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
1 sans discussion et sans appel. Et c’est peut-être vis-à-vis d’eux seulement que notre politique pourra se fixer un programme : la
2 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
2 es devenu le nous, c’est-à-dire a cessé d’être le vis-à-vis qui pose une question directe, — le prochain. Il a cessé d’être un de
3 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
3 e comme une alternative extérieure à son être, un vis-à-vis dont il pourrait se détourner, cette indifférence n’est rien que le r
4 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
4 rigand qui refuse. Christ, dans son temps, est le vis-à-vis absolu des apôtres dans leur temps. Et de même, le témoignage des apô
5 même, le témoignage des apôtres, la Bible, est le vis-à-vis absolu de l’Église dans notre temps. Il dépend de Dieu seul, et nulle
6 ivant, pensée « chrétienne ». Et ces témoins, ces vis-à-vis , nous jugent, ce n’est pas nous qui les jugeons. Leurs erreurs même n
5 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
7 oublie simplement qu’elle est notre critère, ce «  vis-à-vis  » de l’Église dont parle Barth, et auquel doit se rapporter sans cess