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es. Dites à nous-mêmes, d’abord ; à tous ceux qui
voudront
les entendre ; à ceux auxquels, peut-être mieux qu’à nous, il sera do
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au Malin, les autres — ou parfois les mêmes — de
vouloir
fonder dans ce monde un Royaume de Dieu qui pour capitale, plutôt que
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: la politique du pessimisme actif, — ou si l’on
veut
de l’activisme sans illusions. Et sa devise n’est autre que la maxime
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eras des dents sous le genou de ces démons que tu
veux
ignorer hic et nunc. Peut-être.) Je ne veux parler ici que du princip
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ue tu veux ignorer hic et nunc. Peut-être.) Je ne
veux
parler ici que du principe de notre politique ; il est bien clair qu’
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avance par un programme, si « chrétien » qu’on le
veuille
. Un certain nombre de compromissions nous sont à jamais impossibles :
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« Quelles solutions pratiques apportez-vous ? On
voudrait
quelque chose de positif… » Nous avons accueilli cette question de la
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ns accueilli cette question de la façon dont nous
voudrions
que toutes les questions que nous poserons ici soient accueillies : a
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de solutions, — il y a des ordres 1. Celui qui
veut
vraiment agir ne demande pas d’abord un programme, mais d’abord une f
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s fabriquées par la « pensée chrétienne », et qui
voudraient
donner aux hommes une bonne conscience tout à fait inconcevable ; dén
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oderne, la littérature universelle semble n’avoir
voulu
mettre en figures nos désirs et nos ambitions que pour mieux nous en
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e dans le donné hostile du monde ambiant. Elle ne
veut
ni la thèse seule, ni l’antithèse seule, et bien moins encore la synt
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èse seule, et bien moins encore la synthèse. Elle
veut
le risque permanent, l’actualité permanente. Elle provoque sans répit
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es hégéliens. Hegel supprima le conflit lorsqu’il
voulut
en étaler les éléments dans le temps et l’Histoire. Sa dialectique es
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lité radicale s’est incarnée. Mais alors, si nous
voulons
parler en vérité d’une telle incarnation du oui dans le non, nous ne
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on d’avoir, par ces quelques traits schématiques,
voulu
décrire une dialectique qui juge tous nos mots. Je voudrais simplemen
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écrire une dialectique qui juge tous nos mots. Je
voudrais
simplement en avoir dit assez pour qu’il soit inutile d’insister dava
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t tombée sous les yeux » ! Petite erreur de fait,
voulons
-nous croire, mais aggravée par l’ironie dont le professeur nous accab
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ui que définit, d’ailleurs, le Droit romain. Nous
voudrions
montrer ici d’une part l’identité de la personne, telle qu’on peut l’
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le pourrait être aussi laïque ou religieuse qu’on
voudrait
. Mais l’individu a vécu, nous dit-on… Il faut craindre la mort des my
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ne », un tu sujet d’une parole qui m’advient6. On
voudrait
nous faire croire aujourd’hui que le conflit fécond, la communion du
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ormé est défini par sa circonférence. Et comme le
veut
la géométrie euclidienne, il est plus grand que chacun des éléments q
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n de son frère. 10. ou tout autre « isme » qu’on
voudra
. g. Rougemont Denis de, « Grammaire de la personne », Hic et Nunc,
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ir perdu ? La Nature se révolte en désordre. Elle
veut
la mort de l’homme parce qu’il ne sait plus la faire vivre. L’homme s
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se soucie peu d’examiner « librement », comme le
veut
la formule rationaliste, ou fidèlement, comme le voulait Calvin, le c
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la formule rationaliste, ou fidèlement, comme le
voulait
Calvin, le contenu des dogmes de l’Église chrétienne. Cette indiffére
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le. Et c’est elle, précisément, qui nous pousse à
vouloir
établir cette contemporanéité illusoire, dans le temps, à travers et
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tir l’échec final de toute méthode historique qui
voudrait
nous rendre « contemporains » de Christ. Car cette méthode, par elle-
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e nous plaçons les essais qui suivent. Nous avons
voulu
confronter avec les témoins de la Bible, les « problèmes » — le mot e
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ffrayé de son humanisme, a baptisé l’homme qui ne
veut
pas mourir ? » — Il y a des gens qui ont le sens de la gaffe, et le s
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le sens de la gaffe, et le sort, je le crains, a
voulu
que j’en fusse. Mais Nicodème, par bonheur, « sait vivre » mieux que
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z, précisément, ce jugement-là : « L’homme qui ne
veut
pas mourir. » Moi. — Il y aurait de l’impertinence à affirmer rien d
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xtrêmement confus sur la distinction délicate que
voulait
établir le barthien entre la notion d’expérience et le concept d’exis
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oui c’est cela que j’atteste et professe, et que
voulez
-vous donc qu’un professeur enseigne, si ce n’est ce qu’il a vécu, ent
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ase de tout le reste ! Comme s’ils étaient… Je ne
veux
pas blasphémer. Il faut aussi que je les aime. Je n’ai pas fait cette
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ait l’expérience de l’amour, et c’est elle que je
veux
attester. Galopins ! voilà ce que vous êtes, — et maintenant, je veux
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ins ! voilà ce que vous êtes, — et maintenant, je
veux
vous embrasser. Nicodème se leva, au milieu d’un silence ému, et donn
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de l’auteur du Problème du Bien ! “L’homme qui ne
veut
pas mourir”, c’est exactement ça ! Vraiment, c’est excellent ! » À ce
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tout simplement odieux ! m’écriai-je. Et je m’en
voudrais
plus que je ne puis dire d’avoir lâché cette méchante boutade, si ell
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e crois bien que nous délirons à qui mieux mieux.
Voulez
-vous que je vous le prouve ? Il suffira de résumer notre débat. Quel
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Nicodème défend-il l’expérience ? Parce qu’il ne
veut
parler que de ce qu’il a vécu — et je vous ferai remarquer qu’il a vé
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tage qu’au théologien catholique, lequel, s’il ne
veut
pas se borner à la pure et simple copie des formules élaborées par le
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nterdire sévèrement cette pratique… Quand donc on
veut
s’imaginer qu’en ne recevant qu’une espèce, on ne reçoit qu’une cène
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tous les siècles, elle sait ce que Jésus-Christ a
voulu
faire… Comme je citais cette page à un abbé fort écouté, dont les tr
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s donc la page de Bossuet : « … Le Sauveur a-t-il
voulu
laisser aux hommes à distinguer par leur propre sens ce qui était la
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rd ? Lisons plus loin : « Le Sauveur n’a-t-il pas
voulu
au contraire leur faire voir [aux apôtres] qu’il leur laissait son Ég
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tous les siècles, elle sait ce que Jésus-Christ a
voulu
faire. Elle a donc le pouvoir de séparer ce qu’il avait mis ensemble,
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tous les siècles, elle sait ce que Jésus-Christ a
voulu
faire ». (Elle sait même qu’il a voulu faire le contraire de ce qu’il
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s-Christ a voulu faire ». (Elle sait même qu’il a
voulu
faire le contraire de ce qu’il a fait.) Qu’est-ce donc que cette trad
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es-nous déjà prêts pour cette unité ? 22. Je ne
veux
envisager que la controverse sérieuse. Je laisse de côté les banales