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logue, fût-il le plus obtus rationaliste. Dans l’
état
d’atomisation où se trouvait la société moderne, il était aisé de pré
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On ne peut rien accomplir de grand sinon dans un
état
d’amoureuse passion, de mysticisme religieux. Et le Credo du Balilla
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lit avec les voisins. L’État totalitaire, c’est l’
état
de guerre. Nés de la guerre, organisés pour elle et selon ses méthode
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dès lors, parler d’une Suisse chrétienne, dans l’
état
présent de notre pays, c’est faire une anticipation qu’il serait très
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x d’entre nous qui ont le plus à se plaindre de l’
état
social actuel seraient les premiers à regretter le temps où ils avaie
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apparaîtront alors comme les marques du plus haut
état
de liberté et d’ordre véritable auquel soit parvenu un peuple europée
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Inconscient et, en particulier, de la passion à l’
état
pur. Le phénomène de la passion en soi doit donc être examiné en prem
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e toute façon pas susceptibles de comprendre. Cet
état
d’aveuglement et de négation des normes ne peut être obtenu sans la c
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losions redoutables qui étaient déjà visibles à l’
état
d’embryon dans les oeuvres de Rousseau comme dans celles du Marquis d
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s éruptions volcaniques de passions humaines et d’
états
d’âme [sic !] soulevées ou bien par la cruelle Déesse de la Misère ou
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sentiments de responsabilité et à les réduire à l’
état
de « masse ». Or, une masse « n’est qu’une partie de la nature »11, c
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ien leurs échecs, leurs retards et leur perpétuel
état
de surprise. Cela explique pourquoi certains de nos leaders ont persi