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urons fait le principal. Car la réponse est alors
évidente
: il faut, et il suffit, pratiquement, que ce soient les Églises, et
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et de la propriété privées. Ces oppositions sont
évidentes
. Elles ne résultent pas de nos opinions et de nos appréciations. Elle
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e-là ne peut être guérie que par l’action. Il est
évident
qu’un pays comme le nôtre, en perdant son indépendance, perdrait tout
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n perdant son indépendance, perdrait tout. Il est
évident
qu’un peuple qui a été formé par six siècles de libertés civiques chè
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rner eux-mêmes, sur place, à leur manière. Il est
évident
qu’une soumission à l’étranger bouleverserait profondément nos condit
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éfaitistes, parce que c’est vrai, parce que c’est
évident
. Cependant les meilleurs arguments et les appels au devoir les plus i
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ateurs le savent également. Mais la raison, aussi
évidente
qu’elle puisse être, ne saurait faire beaucoup contre la passion mont
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ai plus tard, France. Comment expliquer ces faits
évidents
, et auxquels personne jusqu’ici ne me paraît avoir prêté la moindre a