1 1938, Tapuscrits divers (1936-1947). L’esprit totalitaire et les devoirs de la personne (mai 1938)
1 ler et exploiter le peuple. Mais aujourd’hui nous défendons l’honneur de l’uniforme de l’Armée rouge qui nous protège et nous sav
2 1939, Tapuscrits divers (1936-1947). Pour une « Suisse chrétienne » (1939)
2 sans doute, un désir politique d’abord : celui de défendre l’état de choses existant contre le communisme ou l’hitlérisme. Ces d
3 1940, Tapuscrits divers (1936-1947). Quelle heure est-il ? (1940)
3 ne autre, murmurent-ils, pourquoi chercher à nous défendre  ? Primo, ce n’est pas possible, secundo ce n’est peut-être pas avanta
4 nnaires. Et tous en chœur concluant : pourquoi se défendre  ? Réponse aux défaitistes Je ne perdrai pas beaucoup de temps à
5 droit : le droit de se plaindre. Nous devons nous défendre , comme nous l’avons juré ; nous devons répéter avec les anciens Suiss
6 ntable. Une volonté indiscutée et unanime de nous défendre jusqu’au bout et à tout prix, voilà la seule garantie qui nous reste,
7 atastrophe. Si nous le voulons, nous pouvons nous défendre  : mais si nous en doutons, nous sommes déjà perdus. Voilà ce qu’il f
8 e sentons pas ce qu’est la Suisse que nous devons défendre , et ce que sont nos libertés. Il est temps que nous l’apprenions.
9 t temps que nous l’apprenions. Qu’avons-nous à défendre  ? Beaucoup de Suisses ne se rendent pas compte de la grandeur uniq
10 nous reste à voir qu’en défendant tout cela, nous défendons aussi un grand avenir. Peut-être l’avenir de l’Europe. La mission
11 enir de l’Europe. La mission des Suisses Se défendre n’est pas suffisant, bien que ce soit indispensable. Se défendre n’es
12 pas suffisant, bien que ce soit indispensable. Se défendre n’est pas enthousiasmant ni créateur. Et certains Suisses me diront m
13 créateur. Et certains Suisses me diront même : se défendre , c’est bon pour ceux qui ont quelque chose, mais pour ceux qui n’ont
14 as devant lui une espérance. D’ailleurs, on ne se défend bien qu’en attaquant. On ne maintient un héritage qu’en travaillant à
15 n de la Suisse, qu’on ne parle pas non plus de la défendre . Ce ne sont pas des capitaux, ou le confort moderne que nous défendo
16 pas des capitaux, ou le confort moderne que nous défendons  : car beaucoup d’entre nous n’en ont pas, et ceux qui en ont savent b
17 a dure, nous ne serons même plus capables de nous défendre par les armes. Une Suisse armée et surarmée, mais sans esprit de libe
18 Voilà la situation. Et maintenant, que faire ? Se défendre d’abord. Ce n’est plus une question. Le Conseil fédéral et le chef de
19 ont leur tâche fixe, si minime soit-elle. Pour se défendre avec succès, pour subsister, la Suisse doit redevenir une communauté
4 1941, Tapuscrits divers (1936-1947). Le fédéralisme : un fait et une volonté (1941)
20 ité de s’exprimer, quand ce ne serait que pour se défendre . En même temps, une possibilité se révèle, d’élargissement continenta
5 1942, Tapuscrits divers (1936-1947). Le miracle suisse (1942)
21 lité de l’armée suisse et du terrain qu’elle doit défendre  ; l’importance du col du Gothard ; et enfin l’idée suisse, ou pour re