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istes, que vous mettiez tout votre espoir dans le
Führer
ou au contraire dans le Père des peuples — c’est le nom que se fait d
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mmortel de la nation. M. Goebbels s’adresse à son
Führer
dans le langage même du piétisme : Dans notre profond désespoir, s’é
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is ailleurs, sous la même plume : La foi dans le
Führer
est entourée, on pourrait presque dire, d’une mystique mystérieuse et
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autre chef du parti va plus loin : La volonté du
Führer
, écrit-il, est est effectivement la volonté de Dieu. Et M. Goering d
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s croyons avec la même conviction profonde que le
Führer
est infaillible dans toutes les matières qui concernent les intérêts
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nts. Si vous dites à un hitlérien qu’il adore son
Führer
comme un dieu, il protestera énergiquement. Il vous affirmera peut-êt
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iavélisme du Duce, ou au programme hétéroclite du
Führer
qu’ils le doivent. Mais bien à une poussée religieuse, inconsciente e
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de liberté et de responsabilité morale. Quand le
Führer
réclame la liberté pour les Allemands, cela ne signifie pas du tout q
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qu’elles soient… » Ce sont les propres termes du
Führer
, je le répète. Dès lors, tout ce que morale et religion condamnent da