1 nauté européenne. Tel est le but général de notre conférence . Ce qu’on attend de nous ici, c’est d’abord une réponse à la question

2 pourrait discuter sans fin sur le titre de cette conférence . Les mots européen, culture, prêtent à des controverses trop faciles.

3 mission de leurs principes. Je souhaite que notre conférence s’interdise les débats académiques auxquels prêtent ces définitions.

4 ondent qu’ils ont un rhume, qu’ils ont promis une conférence . D’autres invoquent un besoin subit de se retirer pour méditer. Regre

5 ant destiné à faire l’objet des discussions de la conférence . Il en introduit les sujets. Il veut servir d’exposé des motifs à la

6 s et rapports spéciaux mis à la disposition de la conférence donnent le détail des projets à l’étude. Au premier rang figure une i

7 tés qu’a rencontrées la préparation même de notre conférence , et que ses insuffisances inévitables dans l’état actuel des choses.

8 ulement, mais importants. La préparation de notre conférence , l’abondance et la qualité des rapports reçus sur les questions d’édu

9 arbares, que de nous être aussi mal civilisés. La Conférence européenne de la culture faillirait à sa vraie mission, si elle n’éle

10 ilance publique, on pourra dire vraiment de notre conférence qu’elle fut le congrès de la conscience européenne. Une conscience ma

11 u discours prononcé à Bombay lors de la 2e grande conférence internationale (après celle de juin 1950 à Berlin-Ouest) organisée du

12 Neuchâtel sous l’identifiant 527. Il s’agit d’une conférence donnée par Rougemont au Forum européen d’Alpbach, auquel il s’est ren

13 s l’identifiant 529, qui donne le résumé de cette conférence . h. Ajout manuscrit dans la marge de « et par les mouvement de milit

14 rimé dont je vous relis ces quelques lignes : La conférence que nous organisons n’est pas conçue comme une manifestation, mais pl

15 rès remarquablement élucidés. Dans ce domaine, la conférence de Milan représente un progrès considérable. Mais dans le domaine phi

16 de clôture, lu le samedi 17 septembre 1955, de la conférence sur « L’Avenir de la liberté », tenue à Milan pour les cinq ans du Co

17 eurs notes manuscrites, il s’agit du résumé d’une conférence prononcée lors du Forum européen d’Alpbach, dont Rougemont était un p