1 1948, {Title}. « Cher lecteur britannique, je connais bien votre prudence… » (automne 1948)
1 rd les trois menaces : Aucun de nos pays ne peut prétendre , seul, à une défense sérieuse de son indépendance. Aucun de nos pays
2 1949, {Title}. Présentation du Rapport général de la Conférence européenne de la culture à Lausanne (8 décembre 1949)
2 idarité de nos nations. Une hypocrisie ennuyeuse. Prétendre « organiser les échanges », prenons-y garde, c’est en fait reconnaîtr
3 1951, {Title}. Discours au congrès de Bombay (mars 1951)
3 j’en suis absolument sûr. En troisième lieu, on a prétendu que nous étions réunis à Bombay pour condamner la neutralité en génér
4 it une tricherie évidente, ce serait que l’agneau prétende justifier sa politique par des raisons morales ou doctrinales, et qu’
4 1957, {Title}. [Préface] Europe and the Europeans, édité par Max Beloff (21 février 1957)
5 s la mesure précise où il doute qu’il le soit, et prétend au contraire s’identifier soit avec l’homme universel qu’il imagine,
5 1958, {Title}. Liberté et littérature (août 1958)
6 é par Dieu : on a raison des deux côtés. Ceux qui prétendent qu’ils descendent du singe, en descendent réellement. Ceux qui préten
7 dent du singe, en descendent réellement. Ceux qui prétendent avoir été créés par Dieu, ont été créés par Dieu. Mon sujet sera b),
6 1959, {Title}. La Suisse, microcosme culturel de l’Europe (1959)
8 s sont neuchâteloises. Mais il serait excessif de prétendre que le petit canton de Neuchâtel ait produit à lui seul une culture p
7 1961, {Title}. Découvrons l’Europe (août 1961)
9 aujourd’hui cette fonction ? Certes, l’Europe ne prétend pas recouvrer son hégémonie. Mais elle reste le cœur d’une civilisati