1 nt sans les trahir les angoisses et l’espoir d’un siècle , — notre siècle ? Mais ce n’est pas tout. Notre époque a créé tant de

2 ir les angoisses et l’espoir d’un siècle, — notre siècle  ? Mais ce n’est pas tout. Notre époque a créé tant de formes, inventé

3 u réalisme, qui furent les grandes révolutions du siècle dernier, on lui propose la peinture abstraite, des accords dissonants

4 ans des débats publics les tendances générales du siècle illustrées par l’exposition. Deux grands thèmes ont été proposés, vi

5 Thèmes jumeaux, on le voit. Le grand paradoxe du siècle , c’est que l’artiste ou le savant, le créateur, s’avance tout seul da

6 ser les vraies alternatives de la liberté dans ce siècle . Dans quelle mesure avons-nous réussi ? Pour les faux problèmes, ceu

7 et des attitudes affectives élaborées par tant de siècles de pensée et de foi chrétienne, ou disons plus exactement judéo-hellé

8 s — autant d’ouvertures sur le monde ! Depuis des siècles , on ne cesse d’opposer, sans profit pour personne, je le crains, la v

9 est que nous sauvions la paix pendant le reste du siècle . Nous voulons tous la paix, nous avons faim de paix, et la paix est l

10 là-même indignes de nos grands privilèges dans ce siècle tragique. L’Europe se fera quand tous ses peuples la voudront. Il ne

11 s différences qui séparent nos nations depuis des siècles . Il n’y aurait donc, à les en croire, pas de différences bien notable

12 les écoles d’État s’y soient efforcées depuis un siècle  : or personne n’a jamais attendu rien de pareil d’un État fédéral eur

13 laire courant, il faut attendre les xiv e et xv e siècles , époque où la chrétienté perd nos prolongements proche-orientaux, occ

14 . Cet empire qui sombra pour toujours il y a cinq siècles exactement, avait cessé de vivre son grand rôle historique dès l’an 1

15 pouvait encore tromper et tourner. Exemples : le siècle de Louis XIV, les principautés allemandes (très peu « démocratiques »

16 , inspirés par la mystique des soufis (ix e-xii e siècles ). Les soufis croyaient, contre l’orthodoxie de l’islam, que l’homme (

17 e s’élève rapidement (prévision pour la fin de ce siècle  : 80 ans). La carrière d’un travailleur au xix e siècle était à peu p

18 ie de travail continu : 35 ans. Vers la fin de ce siècle , et à supposer que les tendances actuelles se confirment (ce qui n’es

19 économiques et éducatives, conditionnées par des siècles d’effort acharné, durant lesquels le travail figurait à la fois la né

20 nt fourni les travailleurs occidentaux durant des siècles , et n’ont pas notre morale de travail. Il semble que leur adaptation

21 géographes. Mais il a dominé le monde pendant des siècles . Il a perdu tout récemment son hégémonie politique, comme le rappelle

22 s le nom de « Roi, père de l’Europe ». Durant les siècles qui suivront, le courant civilisateur venu d’Orient vers l’Occident s