1 onseil de l’Europe puis de la CECA. Vers 1950, il apparaissait donc urgent d’étudier ces premières institutions et surtout le problè

2 dont elles étaient issues. C’est alors qu’on voit apparaître dans les universités de Nancy, Strasbourg, Sarrebruck, Mayence, Turin

3 raphique et démographique. Elle tend donc à faire apparaître l’Europe comme une région parmi d’autres — et même la plus petite, pa

4 ales « éternelles ». Mais en même temps, l’Europe apparaissait de plus en plus comme une entité culturelle au-delà des soi-disant « 

5 e est née au xix e siècle et en Europe. Elle nous apparaît aujourd’hui comme la résultante invincible de deux millénaires de con

6 els ou prospectifs. J’en retiendrai cinq qui sont apparus d’une brûlante actualité au cours de 1966. 1. Sauver l’indépendance

7 us concrètes d’union politique. La vérité qui est apparue en 1966, c’est qu’on ne fera pas l’Europe fédérale sans le vouloir. L

8 rale de l’Europe L’idée d’union européenne est apparue dans le temps même où les premières nations (c’étaient la France et l

9 romantisme philosophique, un nouveau nationalisme apparaît  : il ne cherche pas d’abord à organiser et centraliser le pouvoir abs

10 ous puissiez le faire sous le signe de l’Europe m’ apparaît d’une importance particulière. Je vais partir, selon la proposition q

11 -nation comme base d’union de l’Europe, la région apparaît comme une source de vie nouvelle, comme base nouvelle d’union, qui po

12 re et engagé. Dès 1932, ce terme d’« engagement » apparaît avec une insistance croissante dans mes écrits. Un livre entier l’ill