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eiller d’État André Chavanne voudra bien conclure
au nom de
la commission exécutive de l’Institut, dont il est le président. Je d
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niser ou évangéliser, à exploiter ou à civiliser,
au nom de
certains principes religieux ou rationnels qu’ils ne considéraient pa
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u nom du passé éprouvé et celles qui nous tentent
au nom de
l’inconnu fascinant. Il y a, dans le passé européen, une tradition ri
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gestes accomplis par le chef de l’État français,
au nom de
« l’Europe européenne ». Il est vrai que ces gestes, tout en traduisa
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eler eût été considérable s’ils avaient été faits
au nom de
l’Europe entière et pour affirmer son union ; mais faits au nom d’une
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e conjoncture analogue ? Aucun ne pourrait parler
au nom de
l’Europe entière, voilà le fait. Divisée entre une France prorusse et
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l’avenir, dans notre commune espérance, et c’est
au nom de
cette espérance autant que de cet héritage que je me sens pressé de p
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mense héritage hellénique. Ce qu’il faut dénoncer
au nom de
l’Europe, c’est la lugubre erreur de ceux qui dressent contre un dang
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éon (et d’abord Bonaparte) avait rêvé de le faire
au nom de
la Révolution. C’est ici la composante « romaine » de notre dialectiq
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té que le pouvoir de refuser des mesures d’union,
au nom de
cette même souveraineté. On peut encore refuser l’union au nom d’une
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la production qui prendra le temps qu’il faudra !
Au nom de
cet avènement « inévitable » d’un paradis terrestre créé par la produ