1 Il y eut d’abord Athènes, la Béotie, l’Ionie, la beauté dans la liberté, la piété, les sages et la science, et le matin respl

2 t un je ne sais quoi… Ce n’étaient ni grandeur ni beautés éclatantes, ni fascinants bas-fonds de villes énormes, et ni même le

3 eau me semble privé d’âme. Quelles que soient ses beautés visibles, elles font décor. Les vraies beautés de l’Europe sont intér

4 es beautés visibles, elles font décor. Les vraies beautés de l’Europe sont intérieures, et c’est pourquoi Versailles me laisse

5 façade qui ne cache aucune profondeur. Les vraies beautés de l’Europe sont dans les formes qui enclosent et protègent une avent