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me ? Elle serait simplement une force autonome et
différente
, et même la plus grande des trois, donc en fait, et de nouveau, la pr
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largissent d’une manière si réjouissante dans les
différents
pays de notre continent — et même dans la grande île britannique ? Je
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te la Terre, ont fait des peuples et des cultures
différentes
l’objet de leurs études. Ils ont créé l’ethnographie en tant qu’étude
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cientifique de l’Europe, mais comme des solutions
différentes
du problème humain. Il reste que la caractéristique de la culture eur
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embles culturels, — et d’un dialogue des cultures
différentes
confrontées avec le problème commun de leur adaptation à la civilisat
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t tellement loin ! Leurs problèmes sont tellement
différents
, m’assure-t-on, et puis nous n’avons pas les mêmes préjugés, or c’est
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us précises, on aura vu en 1966 des organes aussi
différents
que Le Monde en France et l’organe officiel des coopératives en Sui
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aire au moins, leur histoire fort indépendante et
différente
de celle des autres. Ces histoires ont soudain convergé en l’année 18
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nteraction de fait, quoique de deux manières très
différentes
: a) des personnes ou des communautés trop faibles pour se défendre i
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et villes », lesquelles, possédant des « qualités
différentes
[…] doivent être dirigées par des lois différentes », mais orientées
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ifférentes […] doivent être dirigées par des lois
différentes
», mais orientées par une seule vue générale. Or, selon Dante, cette
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cognoscentes ? Mais la solution proposée est bien
différente
. Au lieu d’exalter l’utopie d’un « monarque du monde » ou empereur id
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’histoire, ou formées par des rythmes d’évolution
différents
. La société d’ailleurs n’est plus imaginée comme un corps, mais comme
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veloppement » C’est en définitive sur les sens
différents
du mot liberté que devront s’opérer les choix politiques nécessaires
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’on en vient très vite, de toutes sortes de côtés
différents
, à une critique fondamentale de la conception même de l’État-nation c
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sme, c’est toujours la coexistence de deux choses
différentes
, également valables, et qu’il faut s’arranger pour faire vivre ensemb
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maintenir l’équilibre en tension de deux réalités
différentes
, leur coexistence en tension. Le modèle le plus simple est fourni par
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isme, c’est-à-dire la coexistence de deux entités
différentes
qu’il ne faut pas du tout unifier et qui doivent être égales, peser d
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recréant toutes sortes de types de communautés de
différentes
tailles, de différentes dimensions, et en les mettant en équilibre, d
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e types de communautés de différentes tailles, de
différentes
dimensions, et en les mettant en équilibre, de manifester ce sens de
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t-on envisager l’existence de régions entièrement
différentes
les unes des autres en raison de leurs richesses économiques ou de le
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ils continuent à relever d’ensembles tout à fait
différents
: que les Bâlois continuent à rester Bâlois d’abord, puis Suisses, qu
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s combien de mètres de profondeur, entre des pays
différents
. Ce petit exemple m’amène à l’idée fondamentale, pour les régions, de
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des réalités politiques, économiques, culturelles
différentes
, je dis ceci : — Je suis Neuchâtelois, né dans un canton qui eut son
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c’est le cas, c’est réel — avoir des allégeances
différentes
. Et je crierais au fou si on prétendait réunir toutes ces allégeances
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tiple. L’homme relève de toutes sortes de niveaux
différents
, et il est normal qu’il y ait des autorités différentes qui y corresp
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rents, et il est normal qu’il y ait des autorités
différentes
qui y correspondent. J’en viens à l’idée de l’État. On m’a fait obser
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ifficile, de la répartition de réseaux de régions
différentes
dans toute l’Europe. Je pense que si l’Europe faisait cette fédératio
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s profondes, elles tiennent aux solutions que les
différentes
nations prétendent donner ou se révèlent incapables de donner au prob
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t surtout du Troisième Reich, mais par des moyens
différents
, voire contraires, en esprit plus encore qu’en technique politique. E
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élargies » par décret à des domaines complètement
différents
? La prétention que l’on attribue à la CEE n’est pas seulement inavou