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ent le Monde qu’ils avaient découvert et que leur
génie
inquiet et entreprenant les portait à coloniser ou évangéliser, à exp
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e Henry Ford. Ce rêveur incurable, bricoleur sans
génie
, était obsédé par l’idée de construire une « locomotive routière », c
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protestation, que nous exerçons ce soir au nom du
génie
hellénique et pour la Grèce, ce droit resterait vain et dérisoire, s’
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rmule fédérale requiert un art et des talents, un
génie
ou au moins une longue patience que ne connaissent pas ou que méprise
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à la pensée. Et dans ce sens, ils sont les vrais
génies
du siècle, dès lors qu’il s’agit de construire. Mais que valent ces m
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1935-1937, se présentait donc comme incarnant le
génie
national — slave, latin, germanique — et cela lui conférait une valeu