1 1963, {Title}. L’Europe entière, ou la première force (1963)
1 e les intérêts transigent plus facilement que les idéaux , et surtout à plus juste titre : la transaction sauve en partie les i
2 latifs et divisibles, mais dégrade à coup sûr les idéaux , qui sont entiers ou ne valent rien. Pour les Six, accepter l’Anglete
3 , notre ancienneté, non seulement de fait, mais d’ idéal , non seulement de racines locales, mais de compréhension universelle.
4 ropéenne, et qui serait d’abord, osons le dire, d’ idéal et non d’intérêt. Une fusion atlantique prématurée servirait sans dou
2 1966, {Title}. « J’essaie d’imaginer mes lecteurs japonais… » (janvier 1966)
5 ommes dont tous les réflexes, les sentiments, les idéaux , et le sens même de la vie, dépendent très largement de leurs traditi
3 1969, {Title}. L’union de l’Europe, modèle d’union dans la liberté (fin des années 1960)
6 r l’utopie d’un « monarque du monde » ou empereur idéal , l’avocat du roi de France préconise simplement une « République chré
7 s esprits qui ont tous échoué à faire passer leur idéal dans la pratique. En revanche, la liste des fondateurs de nations de
4 1970, {Title}. 1931-1937 ou les années tournantes (années 1970)
8 lites et le peuple n’ont plus de vocabulaire ni d’ idéal communs — ou alors c’est seulement l’idéal le plus bas : faire de l’a
9 e ni d’idéal communs — ou alors c’est seulement l’ idéal le plus bas : faire de l’argent, chacun pour soi, autant qu’on le peu
10 le d’intervenir et a fortiori de faire valoir ses idéaux , alors que l’Allemagne hitlérienne viole ses engagements, que l’Itali
11 a gauche ne réalisera pas mieux que la droite ses idéaux . Elle n’ébranlera ni le capitalisme, ni le nationalisme, ni l’armée.
5 1970, {Title}. Discours au Cercle de la presse et des amitiés étrangères (13 octobre 1970)
12  ou non — , pour quelles finalités humaines, quel idéal , ou quel type d’homme — qui ne fût ni cet individualiste politiquemen