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lairement. Mais il sait que ce n’est qu’une étape
nécessaire
. L’Occident tout entier, qu’il nous faut exiger, domine aujourd’hui l
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de telle sorte qu’ils créent la quantité de force
nécessaire
à la défense commune sans supprimer pour autant les caractéristiques
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liberté que devront s’opérer les choix politiques
nécessaires
si l’on entend unir les peuples de l’Europe en connaissance de cause,
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saute aux yeux qu’aucun de nos pays n’a le poids
nécessaire
. En même temps, chacun de nos pays, même les petits, se trouve trop g
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pour leur offrir un milieu qui ait les dimensions
nécessaires
pour une véritable participation civique. L’exemple le plus simple, e
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’une tâche, et quelle communauté a les dimensions
nécessaires
pour s’en charger. Dans le cas où cette communauté n’existe pas, et b
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ace va devenir autonome ? Il n’est absolument pas
nécessaire
d’aller jusque là. On peut très bien imaginer que les gens de la Regi
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s, quand on dit : « L’État-nation était une étape
nécessaire
, cela a tout de même rendu des services », moi je veux bien… Hegel et
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bien… Hegel et Marx ont toujours dit que c’était
nécessaire
quand cela s’était fait… Mais qu’est-ce que cela a donné ? Cela a don
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non pas l’Europe des marchandages (provisoirement
nécessaires
, sans nul doute) sur le prix du lait, du blé ou même du vin. Non pas
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es domaines où une politique continentale s’avère
nécessaire
: écologie, recherches, université ou culture, transports, démographi
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sées politiques, sur leur nature et sur leur lien
nécessaire
avec la CEE ; b) à déclarer quels engagements « politiques » chacune