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ule de ses vingt-cinq nations, isolément, ne peut
prétendre
à jouer un rôle actif, c’est-à-dire à faire preuve d’indépendance pol
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ndant, durcit ses attitudes et ses méthodes. Elle
prétend
de moins en moins à cette philanthropie dont les Français lui faisaie
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l’absence d’une union réelle, nos nations qui se
prétendent
« souveraines » tomberaient bientôt au rang de « sous-développées du
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és existantes de régimes et de coutumes et qui ne
prétende
pas les uniformiser ; une confédération ou une fédération et non pas
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de un à six millions d’habitants), ne peuvent pas
prétendre
à être complètes, ce qu’ont prétendu les États-nations au xix e siècl
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peuvent pas prétendre à être complètes, ce qu’ont
prétendu
les États-nations au xix e siècle. Il n’est pas question qu’elles se
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égeances différentes. Et je crierais au fou si on
prétendait
réunir toutes ces allégeances dans des frontières communes, d’après l
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la déclarèrent, et qui tous, la main sur le cœur,
prétendirent
aussitôt « qu’ils n’ont pas voulu cela ». Absurde guerre, née par une
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ipe, mais on fit tout le contraire, et partout on
prétendit
que l’union de l’État neuf exigeait l’uniformisation des dialectes, d
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iennent aux solutions que les différentes nations
prétendent
donner ou se révèlent incapables de donner au problème principal du s
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talitaires, à peine sortis de la misère, mais qui
prétendent
avoir trouvé le secret d’une nouvelle fraternité. (Ce n’est pas vrai
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r excellence, l’utopie au pire sens du mot, c’est
prétendre
fonder l’union sur les obstacles à toute union, à savoir les États-na
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ement d’avance que je refuserai ce que vous, vous
prétendez
, vouloir faire, tout en sachant très bien que vous ne le ferez jamais