1
on peut quelquefois déceler certaines résultantes
régionales
, sous forme de prises de conscience d’une situation que l’on ressent
2
’est aux Européens d’offrir l’exemple d’une union
régionale
qui, d’une part, mettrait fin à ces divisions, d’autre part, agirait
3
s ordres — culturelles, religieuses, historiques,
régionales
, politiques — qui font la richesse de l’Europe rendent improbable aut
4
’étude de D. Sidjanski sur les tentatives d’union
régionale
en cours dans l’Amérique latine. 9. Je ne parle pas ici de l’AELE (s
5
lus ou moins consistantes et durables à l’échelle
régionale
et nationale, puis à l’échelle européenne, au cours du dernier millén
6
e, de diversification plus exactement : agitation
régionale
dans à peu près tous les pays du monde, y compris la Suisse avec le J
7
ait avoir lieu l’élection des premiers parlements
régionaux
; à cause de l’agitation, des grèves, on l’a renvoyée à l’année proch
8
es : les autonomies locales et les grandes unions
régionales
. Tout semble pointer vers une résultante qui est le fédéralisme. Ici
9
oncernent les moyens d’y parvenir. 1. La solution
régionale
est très séduisante, parce que humaine. Mais dans le monde actuel, où
10
t une emprise de plus en plus grande, la solution
régionale
est-elle la seule et la meilleure ? 2. La solution de l’Europe économ
11
parus depuis une dizaine d’années sur le problème
régional
. Il y a déjà à peu près 400 titres et des centaines d’études assez dé
12
non, on risque de retomber aux petites dictatures
régionales
de ce qu’on appelle en Amérique les « bosses ». Le « boss », c’est le
13
e souveraineté nationale au profit d’institutions
régionales
et continentales, était capable d’éviter la guerre et de changer les
14
irréalisable, quel que soit le niveau considéré,
régional
, national ou continental — si toutefois l’humanité dans son ensemble