1 1962, {Title}. « Né d’un regard juste… » (à propos de Richard Coudenhove-Kalergi) (2 septembre 1962)
1 politique qui se distingue de toute autre, en ce siècle , par un alliage unique de clarté et d’imagination : la pensée de Rich
2 t près de ce but que Coudenhove fut le premier du siècle à désigner clairement. Mais il sait que ce n’est qu’une étape nécessa
2 1966, {Title}. « J’essaie d’imaginer mes lecteurs japonais… » (janvier 1966)
3 e imprévu d’un complexe très vaste, étiré sur des siècles , de croyances religieuses, de structures sociales et de nécessités ph
3 1967, {Title}. L’intellectuel suisse et la politique (juillet 1967)
4 vantages d’un système qu’ils pratiquent depuis un siècle  ; tertio, parce que le fédéralisme quarante-huitard sur lequel nous v
4 1968, {Title}. Message pour la Grèce (3 avril 1968)
5 qu’à nous. Ce qui a fait de l’Europe, pendant des siècles , « la métropole du genre humain », « la perle et le cerveau de la pla
5 1969, {Title}. L’esprit romand (années 1960)
6 — elle ne date guère que de la seconde moitié du siècle passé — d’un complexe de petites unités territoriales qui menaient ch
7 lleurs pas exceptionnel. Neuchâtel est depuis des siècles en relations étroites avec la Franche-Comté (pourtant catholique) à l
8 térêts divergents de nos cinq cantons au long des siècles ), ou le régime politique (deux principautés, un pays sujet, deux répu
9 que purement littéraires. Les deux grands noms du siècle , en Suisse romande, sont Alexandre Vinet et Henri-Frédéric Amiel, c’e
6 1969, {Title}. L’union de l’Europe, modèle d’union dans la liberté (fin des années 1960)
10 e avec raison Christian L. Lange.11 Au cours des siècles qui vont suivre, jusqu’au nôtre, ce n’est pas la vision du poète ni s
11 s. « Ein Volk, ein Reich, ein Führer » dira trois siècles plus tard Hitler, dont l’ambition était d’unir tous les peuples europ
12 n Hongrie, en Pologne, en Italie). Vers la fin du siècle , cet élan populaire dit « nationalitaire » du temps de Mazzini, de La
13 rent (en dépit de leurs rivalités) pendant quatre siècles , ni pour « lutter contre le communisme », ni même pour « rattraper l’
14 ordonnée que ne le sont nos cabinets à la mode du siècle dernier, avec leurs ministères dont les noms mêmes rappellent l’époqu
15 divisions scolastiques du travail (deux ou trois siècles en retard sur les problèmes à résoudre), et avec leurs méthodes d’un
16 renze, 1958, de Carlo Curcio ; et mes Vingt-huit siècles d’Europe , Paris, 1961, trad. allemande (très fautive) sous le titre
7 1969, {Title}. Les chances de l’Europe : huit ans après (novembre 1969)
17 , qui disait récemment : « Le xx e siècle sera le siècle des nations » — si l’on prend nation dans le sens ancien du mot, qui
18 parlaient la même langue. On peut dire que notre siècle voit la renaissance de ces nations-là, qui ne sont pas du tout la nat
8 1970, {Title}. 1931-1937 ou les années tournantes (années 1970)
19 une sorte de logique irréfutable des théories du siècle précédent, dans la mesure où elles étaient communes aux socialistes e
20 ent incapables de donner au problème principal du siècle  : celui de la communauté, celui de la commune mesure des actions, des
21 ée. Et dans ce sens, ils sont les vrais génies du siècle , dès lors qu’il s’agit de construire. Mais que valent ces mesures imp
22 ilosophe danois que l’Europe redécouvre près d’un siècle après sa mort, et dont le message prend soudain toute sa force d’obje
9 1970, {Title}. Discours au Cercle de la presse et des amitiés étrangères (13 octobre 1970)
23 couvert une phrase d’Héraclite, antérieure de six siècles au christianisme et qui est, je crois, celle que j’ai le plus souvent