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à la relance de l’intégration économique par les
traités
de Rome). C’est ainsi que de 1957 à 1963, deux douzaines d’instituts
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stoire n’est pas faite seulement de catastrophes,
traités
, révolutions, avènements, découvertes et morts illustres, mais d’une
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ntente avec le Kremlin et multiplie les offres de
traités
techniques, spatiaux, nucléaires… Dans les pays de l’Est européen, où
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x de l’ambition majeure de ceux qui rédigèrent le
traité
de Rome : la supranationalité des décisions, conduisant à l’union pol
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espoirs de développement au-delà de la lettre du
traité
ont été vertement rabroués, et l’on s’est aperçu que Jean Monnet avai
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a veille de la Seconde Guerre mondiale. ⁂ Des «
traités
de banlieue » à Hitler, ou le facteur nationaliste Le xx e siècle
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copiées par ses adversaires et ses victimes. Les
traités
imposés aux empires centraux par les démocraties de l’Ouest avaient é
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r les démocraties de l’Ouest avaient été nommés «
traités
de banlieue » parce que Paris était encore centre du monde et que ses
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s, Saint-Germain, Trianon, Neuilly et Sèvres. Ces
traités
reposaient tous, en théorie, sur les principes sacrés des nationalité
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d’Hitler fondées sur leurs principes ? Tous les «
traités
de banlieue » de 1919 avaient été fondés sur les dogmes et les cliché
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’erreurs intéressées de ce genre, les auteurs des
traités
de banlieue avaient peut-être cru — plus ou moins naïvement ou cyniqu
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andaleux : il figure dans tous les préambules des
traités
imposés par les vainqueurs « démocrates » de 1918. Il est absolument
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apitaliste qui vont permettre à cette logique des
traités
de manifester très vite ses effets politiques et sociaux à une grande
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héréditaire… L’année suivante, Hitler déchire le
traité
de Versailles et recrée une armée allemande. Puis se déchaîne une cou
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e France, Grande-Bretagne et Italie fasciste), de
traités
déchirés, dès 1933, de mesures théoriques de désarmement et d’embargo
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cédé à la Chancellerie du Reich : dénonciation du
traité
de Versailles. La délégation allemande se retire de la Conférence du
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apitale détrônée d’une vaste fédération que les «
traités
de banlieue » avaient sottement dissoute, donne à l’Occident, à la ve
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re des « Châteaux de l’âme », selon le titre d’un
traité
mystique de sainte Thérèse d’Avila. Château et âme sont si profondéme
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s dans le préambule et réitérées dans le corps du
traité
de Rome, pense-t-on que cela suffirait à les imposer pratiquement aux
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édents nous invitent à en douter. Or, en fait, le
traité
de Rome ne contient pas la moindre allusion à des finalités politique
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rouvait être sans objet quand il n’y avait que le
traité
de Rome, ne porte que sur des projets non acceptés, des « rêves » ou
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j’étais la Suisse à Bruxelles, je dirais : 1° Le
traité
de Rome n’a pas de finalité politique au sens idéologique et militair