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grands courants continentaux, qui établissent une
unité
vivante et dynamique, et des foyers locaux de création, qui sans cess
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les grands courants et les foyers locaux, entre l’
unité
et la diversité, il faut bien constater que l’échelon national ne jou
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otagonistes au silence, le seul qui entretienne l’
unité
et l’autorité intérieures à partir de la pluralité, de la diversité e
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tats-nations actuels. Ils veulent donc de petites
unités
sociales, économiques, civiques. Ils veulent des régions non des nati
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ui fit partie des deux premiers, mais affirme son
unité
contre le troisième : c’est elle sous la pression de ses nationaliste
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apauté, c’est-à-dire que la France, au nom de son
unité
et de sa souveraineté absolue ne cessera de s’opposer aux puissances
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rt, les Allemagnes et les Italies n’ont atteint l’
unité
étatique qu’au dernier tiers du xix e siècle par les entreprises de l
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laquelle ne peut être réelle que dans de petites
unités
. Au niveau continental se forme le tissu toujours plus serré des rela
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tats-nations actuels. Ils veulent donc de petites
unités
sociales, économiques, civiques. Ils veulent des régions non des nati
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placer ? Nous l’avons dit plus haut : les petites
unités
territoriales, urbaines, régionales, sont les seules qui permettent a
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, donc de jouir de ses libertés : à partir de ces
unités
régionales ou « espaces de participation civique » doit et peut se co
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populations de la Planète. L’avantage des petites
unités
sur les grands États est lisible en clair dans toutes les statistique
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ien plus. La substitution progressive des petites
unités
socio-économiques aux États-nations centralisés se trouve être à la f