1 ns tous les pays européens et américains — que le chômage sera résorbé d’ici peu, on ne fait que du bruit avec la bouche, et on

2 t-ce qu’on crée du loisir avec les machines ou du chômage  ? Il se trouve que le premier article que j’ai publié à Paris sur ce

3 it L’Ordre nouveau , était intitulé « Liberté ou chômage  ». C’est donc une préoccupation très ancienne chez moi (j’avais 26 an

4 se, pour la première fois mondiale : inflation et chômage au Nord, famines au Sud, terrorisme partout comme en écho à « l’équil

5 blème dont la solution est surtout régionale : le chômage . Dans son livre Machinisme et chômage, comme dans une suite récente d

6 ionale : le chômage. Dans son livre Machinisme et chômage , comme dans une suite récente d’articles au Monde , Alfred Sauvy, qu

7 natives », en vient à affirmer que le problème du chômage , qui est pourtant à ses yeux « le mal impardonnable » de notre sociét

8 isme étatique, de loisirs virtuels, mais aussi de chômage réel, de richesses inouïes, mais rongées par l’inflation, de justice

9 érils se précisent dans une société hantée par le chômage et l’inflation, le terrorisme, et la course aux armements (coût globa

10 s celui que définissent ces trois mots : Travail, chômage , loisirs créateurs Voici les données du problème : La technologie de

11 dans nos sociétés non pas de la liberté, mais du chômage . Partant de cette constatation paradoxale, qui exprime la nature de l

12 effet de plus en plus évident que le problème du chômage déborde de toutes parts le domaine de l’économie industrielle où il s

13 aboutisse en fait, dans notre société, à créer du chômage plutôt que de la liberté, voilà bien le scandale éthique qui nous obl