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normes, parce qu’il y a un grand invariant dans l’
humanité
, c’est la taille qui n’a pas changé d’une manière significative depui
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humain. C’est une situation sans précédent dans l’
humanité
, qui a été créée par les sciences d’abord, et dont l’ampleur ne se ma
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efforts et d’envisager leurs répercussions sur l’
humanité
, sur la liberté des hommes. Les recherches sur la biotechnique, en gé
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s. Ces derniers sont-ils vraiment au service de l’
humanité
, ou sont-ils les moyens au service du profit à court terme d’une demi
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la domination globale, totale et définitive de l’
humanité
, mettant fin à l’histoire, pour autant que celle-ci est l’histoire de
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inceton) : « Que pensez-vous qu’il resterait de l’
humanité
au terme d’une guerre atomique ? » Il m’a dit : « Probablement une vi
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but, équivaudrait en fait à l’anéantissement de l’
humanité
civilisée. Même si de telles extrémités ne sont pas atteintes, il est
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esprit, quand nous imaginons l’avenir, celui de l’
humanité
, ou le nôtre en elle, ou en tout cas celui de nos enfants et petits-e
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’est-à-dire pratiquement, de la continuation de l’
humanité
. Ce monde d’aujourd’hui tel qu’il va, et tel que le caractérise sa cr
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radation morale et matérielle sans précédent de l’
humanité
« unifiée » malgré elle au plus bas niveau moral et matériel. Quelle
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pproche des problèmes désormais communs à toute l’
humanité
: la nécessité du dialogue des cultures se révèle ici dans toute son
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les catastrophes majeures menaçant aujourd’hui l’
humanité
et même toute vie sur la Terre. Tel serait le Programme culturel que