1 est suffisant. Ainsi on donnait tort à toutes les prévisions sur l’augmentation de la consommation d’énergie. Au haut de la page 4

2 ergie ! Mais, on n’en tient aucun compte dans les prévisions  ; on fait comme si toute l’énergie devait arriver à l’homme de l’exté

3 sans aucun plan d’ensemble, sans aucun calcul de prévision des conséquences de la chose réalisée. Imaginez, si on avait demandé

4 qui surgissent de ses applications sans frein ni prévision . Quelle limite absolue, quel principe de « prudence » (comme on disai

5 ndre conscients de la nécessité d’un organisme de prévision d’un genre nouveau, capable de remettre en cause la nature même de ce