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très louables que tentent les éditeurs, ou même l’
État
, pour remettre le livre en honneur, sont voués à de faibles succès. C
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er publiquement telle ou telle mesure prise par l’
État
: la presse et la radio lui en offrent les moyens. S’il a quelque cho
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reste à faire. Le président et ses secrétaires d’
État
tiennent des conférences régulières avec les journalistes, qui ont le
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le, où les Églises ont toujours été séparées de l’
État
). Je me bornerai pour aujourd’hui à la décrire comme un fait, un gran
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n n’était qu’un Pacte d’alliance entre vingt-cinq
États
absolument souverains. Point de citoyenneté suisse, point de liberté
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composé de plénipotentiaires agissant au nom des
États
et prenant leurs rares décisions à la majorité des trois quarts. Prat
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ant l’étranger et même devant la guerre entre les
États
membres. Niera-t-on que ce fût là, trait pour trait, un état comparab
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ssurer l’indépendance du pays. Mais la Diète, les
États
et leurs experts voyaient dans le mot souveraineté la réponse décisiv
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ux, dont elle soumet les résultats aux vingt-cinq
États
souverains. Le 15 mai, la Diète est saisie du projet, qu’elle adopte
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la Constitution est acceptée par près de 2/3 des
États
et plus de 2/3 des citoyens votants. Le 16 novembre, le premier Conse
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, neuf mois avaient suffi pour fédérer vingt-cinq
États
souverains… Pensez-vous que l’Histoire vous en laisse beaucoup plus,
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toire vous en laisse beaucoup plus, pour unir vos
États
dans un plus grand péril ? Vous me direz que l’Europe est plus grande
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en vain : Où sont encore les souverainetés de nos
États
, quand l’armée et l’économie n’en dépendent plus que pour la forme et
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, je ne vois pas que leur variété ait empêché les
États
des US ou les cantons de la Suisse de se fédérer. La souveraineté nat
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seraient-ils naïfs, quand c’est par décision d’un
État
étranger qu’ils disent vouloir garder la souveraineté du leur ?) Mess
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la suppression des souverainetés. Ses vingt-cinq
États
sont souverains sur le papier, mais fédérés en fait. Chacun d’eux a g
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, c’est une campagne électorale organisée par les
États
, en vue de nommer leurs députés au premier Parlement de l’Europe. Les
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que l’Autorité fédérale, souveraine au-dessus des
États
. Messieurs les députés européens, je vous salue d’un vœu qui voudrait
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it l’histoire de cette union. En 1787, les treize
États
qui venaient de se libérer de la tutelle britannique décidèrent que l
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uments de la grandeur européenne ! que les treize
États
, réunis dans une étroite et indissoluble union, concourent à la forma
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ent pas pour si peu : elles ne dépendent pas de l’
État
. Mais qu’un écrivain russe reçoive le prix Nobel, tout le monde sait
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jecteurs de conscience, la Suisse ne serait qu’un
État
policier régnant sur des êtres sans âmes. La politique de neutralité
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statut des objecteurs, la Suisse ne serait qu’un
État
policier ». J’ai dit seulement que si l’on choisissait de s’en tenir
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nal de Genève en octobre 1969 : « Entre Dieu et l’
État
», Journal de Genève, Genève, n° 231, 4-5 octobre 1969, p. 14‑15.
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t sur l’objection de conscience : entre Dieu et l’
État
(4 octobre 1969)ai Le 27 juin dernier, le professeur Denis de Rou
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cendance, à quelque chose qui soit au-dessus de l’
État
et des intérêts de l’État. Ce qui me paraît absolument hypocrite, c’e
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qui soit au-dessus de l’État et des intérêts de l’
État
. Ce qui me paraît absolument hypocrite, c’est de mettre « Au nom du D
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avons vu à quoi pouvait aboutir une religion de l’
État
où le citoyen applique les lois et y obéit sans les mettre plus jamai
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faire ici de la tactique. Je suis persuadé que l’
État
ne peut pas mettre en doute, surtout dans notre communauté helvétique
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u’il ne peut assumer par la suite aucune charge d’
État
… Christian Schaller. — N’empêche qu’il y a un statut, c’est déjà un p
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t sur l’objection de conscience : entre Dieu et l’
État
», Journal de Genève, Genève, 4 octobre 1969, p. 2-3.
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aineté » (d’ailleurs de plus en plus fictive) des
États
. Or, tous les problèmes concrets qui se posent dans cette région appe
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a voiture. » François Peyrot, ancien conseiller d’
État
, président du Salon international de l’automobile de Genève, tout en
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etits enfants. Il avait obtenu du gouverneur de l’
État
l’interdiction absolue pour les voitures de s’approcher à plus de 5 m
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prétendent, de leur côté, que l’intervention de l’
État
pour faire face à l’extension de la voiture, est de plus en plus brut
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t : La vérité n’est ni d’un côté ni de l’autre. L’
État
est l’arbitre entre des intérêts souvent divergents. Il doit veiller
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allusion à la démocratisation des décisions de l’
État
. Je suis pour ma part en faveur d’un système politique démocratique o
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lus brutales. Elles se font au nom de la raison d’
État
. Pensez aux expropriations que l’on se prépare à faire, selon des déc
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petite ceinture » a été introduite. Le Conseil d’
État
et le conseil municipal ont proposé quatre objectifs : enlever du cen
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nt en ce qui concerne les transports en commun, l’
État
n’a pas été particulièrement rapide ! Jean Kräyenbühl : Il semble qu’
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« gentils ». Cela me rappelle ce que l’on dit aux
États
auxquels on vend des centrales : « Surtout ne faites pas de mal avec
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ctée par des buts collectifs, l’impérialisme de l’
État
ou de la race substitué à celui de la classe ; mais qu’en revanche un