1 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (III) : Mission civique de la culture (1er mars 1937)
1 très louables que tentent les éditeurs, ou même l’ État , pour remettre le livre en honneur, sont voués à de faibles succès. C
2 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Santé de la démocratie américaine (17 janvier 1941)
2 er publiquement telle ou telle mesure prise par l’ État  : la presse et la radio lui en offrent les moyens. S’il a quelque cho
3 reste à faire. Le président et ses secrétaires d’ État tiennent des conférences régulières avec les journalistes, qui ont le
3 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Religion et vie publique aux États-Unis (18 février 1941)
4 le, où les Églises ont toujours été séparées de l’ État ). Je me bornerai pour aujourd’hui à la décrire comme un fait, un gran
4 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Lettre aux députés européens (15 août 1950)
5 n n’était qu’un Pacte d’alliance entre vingt-cinq États absolument souverains. Point de citoyenneté suisse, point de liberté
6 composé de plénipotentiaires agissant au nom des États et prenant leurs rares décisions à la majorité des trois quarts. Prat
7 ant l’étranger et même devant la guerre entre les États membres. Niera-t-on que ce fût là, trait pour trait, un état comparab
8 ssurer l’indépendance du pays. Mais la Diète, les États et leurs experts voyaient dans le mot souveraineté la réponse décisiv
9 ux, dont elle soumet les résultats aux vingt-cinq États souverains. Le 15 mai, la Diète est saisie du projet, qu’elle adopte
10 la Constitution est acceptée par près de 2/3 des États et plus de 2/3 des citoyens votants. Le 16 novembre, le premier Conse
11 , neuf mois avaient suffi pour fédérer vingt-cinq États souverains… Pensez-vous que l’Histoire vous en laisse beaucoup plus,
12 toire vous en laisse beaucoup plus, pour unir vos États dans un plus grand péril ? Vous me direz que l’Europe est plus grande
5 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Quatrième lettre aux députés européens : En lisant le pamphlet du Labour Party (18 août 1950)
13 en vain : Où sont encore les souverainetés de nos États , quand l’armée et l’économie n’en dépendent plus que pour la forme et
14 , je ne vois pas que leur variété ait empêché les États des US ou les cantons de la Suisse de se fédérer. La souveraineté nat
15 seraient-ils naïfs, quand c’est par décision d’un État étranger qu’ils disent vouloir garder la souveraineté du leur ?) Mess
16 la suppression des souverainetés. Ses vingt-cinq États sont souverains sur le papier, mais fédérés en fait. Chacun d’eux a g
6 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Cinquième lettre aux députés européens : « Méritez votre nom ! » (19-20 août 1950)
17 , c’est une campagne électorale organisée par les États , en vue de nommer leurs députés au premier Parlement de l’Europe. Les
18 que l’Autorité fédérale, souveraine au-dessus des États . Messieurs les députés européens, je vous salue d’un vœu qui voudrait
7 1953, Journal de Genève, articles (1926–1982). Aller et retour (21 mai 1953)
19 it l’histoire de cette union. En 1787, les treize États qui venaient de se libérer de la tutelle britannique décidèrent que l
20 uments de la grandeur européenne ! que les treize États , réunis dans une étroite et indissoluble union, concourent à la forma
8 1958, Journal de Genève, articles (1926–1982). Hommage à Pasternak (31 octobre 1958)
21 ent pas pour si peu : elles ne dépendent pas de l’ État . Mais qu’un écrivain russe reçoive le prix Nobel, tout le monde sait
9 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Denis de Rougemont et l’objection de conscience (30 juin 1969)
22 jecteurs de conscience, la Suisse ne serait qu’un État policier régnant sur des êtres sans âmes. La politique de neutralité
10 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Objection de conscience : Denis de Rougemont répond (4 juillet 1969)
23 statut des objecteurs, la Suisse ne serait qu’un État policier ». J’ai dit seulement que si l’on choisissait de s’en tenir
24 nal de Genève en octobre 1969 : « Entre Dieu et l’ État  », Journal de Genève, Genève, n° 231, 4-5 octobre 1969, p. 14‑15.
11 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Un débat sur l’objection de conscience : entre Dieu et l’État (4 octobre 1969)
25 t sur l’objection de conscience : entre Dieu et l’ État (4 octobre 1969)ai Le 27 juin dernier, le professeur Denis de Rou
26 cendance, à quelque chose qui soit au-dessus de l’ État et des intérêts de l’État. Ce qui me paraît absolument hypocrite, c’e
27 qui soit au-dessus de l’État et des intérêts de l’ État . Ce qui me paraît absolument hypocrite, c’est de mettre « Au nom du D
28 avons vu à quoi pouvait aboutir une religion de l’ État où le citoyen applique les lois et y obéit sans les mettre plus jamai
29 faire ici de la tactique. Je suis persuadé que l’ État ne peut pas mettre en doute, surtout dans notre communauté helvétique
30 u’il ne peut assumer par la suite aucune charge d’ État … Christian Schaller. — N’empêche qu’il y a un statut, c’est déjà un p
31 t sur l’objection de conscience : entre Dieu et l’ État  », Journal de Genève, Genève, 4 octobre 1969, p. 2-3.
12 1973, Journal de Genève, articles (1926–1982). Genève, exemple européen ? (10-11 novembre 1973)
32 aineté » (d’ailleurs de plus en plus fictive) des États . Or, tous les problèmes concrets qui se posent dans cette région appe
13 1978, Journal de Genève, articles (1926–1982). Débat sur la voiture dans la société moderne (février 1978)
33 a voiture. » François Peyrot, ancien conseiller d’ État , président du Salon international de l’automobile de Genève, tout en
34 etits enfants. Il avait obtenu du gouverneur de l’ État l’interdiction absolue pour les voitures de s’approcher à plus de 5 m
35 prétendent, de leur côté, que l’intervention de l’ État pour faire face à l’extension de la voiture, est de plus en plus brut
36 t : La vérité n’est ni d’un côté ni de l’autre. L’ État est l’arbitre entre des intérêts souvent divergents. Il doit veiller
37 allusion à la démocratisation des décisions de l’ État . Je suis pour ma part en faveur d’un système politique démocratique o
38 lus brutales. Elles se font au nom de la raison d’ État . Pensez aux expropriations que l’on se prépare à faire, selon des déc
39  petite ceinture » a été introduite. Le Conseil d’ État et le conseil municipal ont proposé quatre objectifs : enlever du cen
40 nt en ce qui concerne les transports en commun, l’ État n’a pas été particulièrement rapide ! Jean Kräyenbühl : Il semble qu’
41 « gentils ». Cela me rappelle ce que l’on dit aux États auxquels on vend des centrales : « Surtout ne faites pas de mal avec 
14 1982, Journal de Genève, articles (1926–1982). Suis-je perdu pour la littérature ? (30 octobre 1982)
42 ctée par des buts collectifs, l’impérialisme de l’ État ou de la race substitué à celui de la classe ; mais qu’en revanche un