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as faire de musique. Pas davantage que Descartes,
Ansermet
ne se fonde sur le dogme, sur la Bible et la Tradition, ni sur quelqu
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e promesses d’une vie future, et par là même, dit
Ansermet
, abandonnant notre bas monde à ses fins matérielles, à l’intérêt. C’e
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ien ce qu’en diraient les barthiens dont je fus :
Ansermet
, partant de Husserl, réinvente le libéralisme protestant de l’époque
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Dieu des philosophes et des savants », encore qu’
Ansermet
dise très bien que ce n’est pas le Dieu des philosophes qui sera d’un
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équation d’Einstein — voici qu’il est aussi, pour
Ansermet
, précisément le « Dieu sensible au cœur », saisi dans la conscience p
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es uns et les autres auraient tort. Nous devons à
Ansermet
une tentative unique d’adéquation de l’affectif au spirituel, et d’ap