1 1963, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Le Dieu immanent, qui s’annonce à leur cœur » (9-10 novembre 1963)
1 as faire de musique. Pas davantage que Descartes, Ansermet ne se fonde sur le dogme, sur la Bible et la Tradition, ni sur quelqu
2 e promesses d’une vie future, et par là même, dit Ansermet , abandonnant notre bas monde à ses fins matérielles, à l’intérêt. C’e
3 ien ce qu’en diraient les barthiens dont je fus : Ansermet , partant de Husserl, réinvente le libéralisme protestant de l’époque
4  Dieu des philosophes et des savants », encore qu’ Ansermet dise très bien que ce n’est pas le Dieu des philosophes qui sera d’un
5 équation d’Einstein — voici qu’il est aussi, pour Ansermet , précisément le « Dieu sensible au cœur », saisi dans la conscience p
6 es uns et les autres auraient tort. Nous devons à Ansermet une tentative unique d’adéquation de l’affectif au spirituel, et d’ap