1 1968, Journal de Genève, articles (1926–1982). Denis de Rougemont nous écrit (6-7 juillet 1968)
1 Denis de Rougemont nous écrit (6-7 juillet 1968)aa M. P.-O. Walzer suggère à vos lect
2 u Samedi littéraire. aa. Rougemont Denis de, «  Denis de Rougemont nous écrit », Journal de Genève, Genève, 6–7 juillet 1968, p. 17.
2 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Denis de Rougemont et l’objection de conscience (30 juin 1969)
3 Denis de Rougemont et l’objection de conscience (30 juin 1969)ab ac Monsieur le prési
4 ngués et dévoués.ad ab. Rougemont Denis de, «  Denis de Rougemont et l’objection de conscience », Journal de Genève, Genève, 30 juin 19
5 audience, une lettre de l’écrivain et professeur Denis de Rougemont a été lue par le président du Tribunal. Une copie nous a été transmis
6 se des trente dernières années, n’osera nier [de] Denis de Rougemont les titres dont il se réclame pour parler de mission ou démission de
7 igner de la solidarité nationale des hommes comme Denis de Rougemont , qui ne sont pas eux-mêmes objecteurs, qui ne sont eux-mêmes “ni subv
8 aires farfelus”. Il y a donc bien un problème, et Rougemont a raison de demander, au nom des valeurs qui étayent son patriotisme,
3 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Objection de conscience : Denis de Rougemont répond (4 juillet 1969)
9 Objection de conscience : Denis de Rougemont répond (4 juillet 1969)ae af Monsieur le rédacteur en chef, J’ai é
10 Rougemont Denis de, « Objection de conscience : Denis de Rougemont répond », Journal de Genève, Genève, 4 juillet 1969, p. 11. af. Le t
11 publié lundi dernier une lettre que le professeur Denis de Rougemont avait adressée le vendredi précédent au président du tribunal militai
12 l considérait comme une alternative de la part de Denis de Rougemont . Celui-ci répond aujourd’hui. » Un débat sur l’objection de conscienc
13  » Un débat sur l’objection de conscience, auquel Denis de Rougemont prendra part, sera organisé et publié dans le Journal de Genève en oc
4 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Un débat sur l’objection de conscience : entre Dieu et l’État (4 octobre 1969)
14 bre 1969)ai Le 27 juin dernier, le professeur Denis de Rougemont intervenait dans le procès d’un objecteur de conscience en adressant
15 isme vécu, peuvent arriver aux mêmes conclusions. Denis de Rougemont . — Je suis frappé par la lecture de cet article 49, paragraphe 5, qui
16 me totalitaire. Colonel Voucher. — Pas chez nous. Denis de Rougemont . — Non. Mais j’ai dit dans certains régimes, et très logiquement. Car
17 enne. Bernard Béguin. — Est-elle antichrétienne ? Denis de Rougemont . — En cas de conflit, oui. Dans le cas du conflit prévu par cet artic
18 Béguin. — Contre l’interprétation d’un individu… Denis de Rougemont . — C’est la religion civique qui triomphe. Si l’objecteur invoque son
19 itoyen. Moyen légal ou ferment d’anarchie ? Denis de Rougemont . — Voilà le dilemme. Colonel divisionnaire Dénéréaz. — Dans les conse
20 ses si vous parlez d’obéissance inconditionnelle… Denis de Rougemont . — Au point de vue des citoyens, c’est beaucoup plus grave. Le confor
21 ue au lieu de chercher la réforme dans son cadre. Denis de Rougemont . — J’aimerais rappeler que le problème est celui de l’objecteur de co
22 t l’objection de conscience, devant les Chambres. Denis de Rougemont . — La condamnation est forcément prononcée lorsque les conditions obj
23 faire défaut au service doit être aussi réalisée. Denis de Rougemont . — Je ne suis pas du tout objecteur de conscience moi-même. J’ai fait
24 laident coupables, ils cherchent la condamnation. Denis de Rougemont . — Comme les hérétiques. Les civils plus intolérants que l’armée
25 lonel Vaucher. — Je voudrais répondre encore à M. de Rougemont que l’appréciation des mobiles joue un rôle dans la quotité de la pei
26 le, sont juges militaires, ce sont des miliciens. Denis de Rougemont . — Je n’ai absolument rien dit contre l’armée en tant que telle. Je p
27 verez exactement le contraire dans nos jugements. Denis de Rougemont . — Effectivement, dans l’armée je n’ai pas entendu ça. Colonel Vauche
28 emandons pas de l’aimer, ni d’en être partisan. » Denis de Rougemont . — L’objecteur de conscience n’est pas quelqu’un qui trouve que l’arm
29 ais contesté l’aide au tiers-monde. Au contraire. Denis de Rougemont . — La défense suisse nous a épargné d’être hitlérisés. Il n’y a pas l
30 s frontières actuelles sont celles de la planète. Denis de Rougemont . — On parle de la situation particulière de la Suisse. Je me demande
31 e aux objecteurs de conscience.   Nos invités : M. Denis de Rougemont , écrivain, directeur de l’Institut universitaire d’études européennes
5 1973, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Denis de Rougemont, l’amour et l’Europe » (3-4 mars 1973)
32 «  Denis de Rougemont , l’amour et l’Europe » (3-4 mars 1973)aj ak Pourquoi l’amour est-i
33 e faire. aj. Rougemont Denis de, « [Entretien] Denis de Rougemont , l’amour et l’Europe », Journal de Genève, Genève, 3–4 mars 1972, p. 
34 leder et précédés du chapeau suivant : « En 1972, Denis de Rougemont a réédité quatre ouvrages anciens, augmentés de préfaces inédites et
6 1978, Journal de Genève, articles (1926–1982). Débat sur la voiture dans la société moderne (février 1978)
35 dié à fond, bien que sous des angles différents : Denis de Rougemont , président du Centre européen de la culture, professeur à l’Institut
36 s sur notre santé. I Hubert de Senarclens : Denis de Rougemont , dans votre livre, L’Avenir est notre affaire, vous décrivez une voit
37 ansion qui est la sienne depuis bientôt 100 ans ? Denis de Rougemont  : d’entrée de jeu, je souhaite affirmer que je ne suis pas contre l’a
38 s chercheurs en ont connu dans d’autres domaines. Denis de Rougemont  : Je m’inscris en faux contre cette interprétation. Ce n’était pas lu
39 le vendredi soir pour éviter les embouteillages. Denis de Rougemont  : Vous dites, M. Peyrot, là où il n’y pas de besoin, il n’y a pas de
40 abrication standardisée, dans la ligne de Taylor. Denis de Rougemont  : Il y a eu avant Ford une cinquantaine d’inventeurs qui ont fait à p
41 mon avis il est immensément positif, c’est tout ! Denis de Rougemont  : Permettez-moi de signaler quelques-uns des côtés négatifs. Il ne s’
42 niser de rayer la voiture de la surface du globe… Denis de Rougemont  : Cela personne ne l’a dit. Mais je voudrais reprendre mon propos ini
43 t trouvé que cela à me répondre : « Mais Monsieur de Rougemont , avez-vous une voiture ? ». C’est grotesque, c’est de l’enfantillage.
44 onnelle. Mais je suis contre le but qu’elle vise. Denis de Rougemont  : Je suis bien obligé de reconnaître que les expropriations sont de p
45 nvironnement, il y a là une énorme contradiction. Denis de Rougemont  : Je suis parfaitement d’accord avec vous. Seulement pour en revenir
46 ce qui est contraire à tous nos us et coutumes ! Denis de Rougemont  : Vous savez bien pourquoi au départ il avait demandé cela. C’est pou
47 le visage des villes. Vous avez souvent écrit, M. de Rougemont , que l’automobile avait détruit les rapports humains dans les villes
48 individuel pour prendre les transports en commun. Denis de Rougemont  : Vous me rappelez ce que disait Alfred Sauvy dans son petit livre su
49 ubert de Senarclens : Vous avez fréquemment écrit Denis de Rougemont , que la voiture avait tué les relations humaines dans la cité. Denis
50 re avait tué les relations humaines dans la cité. Denis de Rougemont  : Je citerai deux penseurs français actuels : Bertrand de Jouvenel et
51 es. Je suis d’avis que des règlements s’imposent. Denis de Rougemont  : Nous sommes ici, je pense, tous d’accord pour penser que cette décl
52 ’y a un ou deux siècles. Moi ce qui me frappe, M. de Rougemont , dans la critique que vous faites du système en général c’est que vou
53 les l’on doit continuellement changer des pièces. Denis de Rougemont  : En ce qui concerne l’économie, je pense qu’il faut rester humain. I
54 de blessés et des milliards de dépenses sociales. Denis de Rougemont  : Une adjonction s’impose. C’est l’aspect de la criminalité. Il est é
55 ispositions du Conseil fédéral. Alors attendons ! Denis de Rougemont  : Je dois dire, M. Peyrot, que vous avez systématiquement, au cours d
7 1980, Journal de Genève, articles (1926–1982). Les journalistes sportifs ? On dirait qu’ils aiment les tyrans (31 mai-1er juin 1980)
56 avait écrit de sa grande écriture, impériale. « À Denis de Rougemont , colonne de la défense, son camarade, Montherlant. » J’étais bien ent
57 dé du chapeau suivant : « Né à Neuchâtel en 1906, Denis de Rougemont est l’écrivain suisse le plus engagé dans les divers mouvements pour
8 1982, Journal de Genève, articles (1926–1982). Suis-je perdu pour la littérature ? (30 octobre 1982)
58 i dernier, au Conservatoire de musique de Genève, Denis de Rougemont a reçu le Grand Prix Schiller, une des plus hautes distinctions litté
59 foi en un avenir qui sera ce que nous en ferons, Denis de Rougemont expliqua pourquoi l’essai est, à son sens, un genre pleinement littér