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rieux avide du secret dernier des choses, lucide,
avec
une sorte d’acharnement, comme seul il sait l’être aujourd’hui sans q
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r l’âme orientale de l’islam, que nous l’avons lu
avec
un intérêt si soutenu et parfois — je pense à certaines pages sur Jér
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clients dégustent des cafés débordants de crème,
avec
une apathie qu’aucun orchestre ne vient troubler, aucune voix haute,
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nier acte d’une opérette. Ce peuple s’est résigné
avec
une facilité incroyable à la défaite, au marxisme, au chômage, lequel
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tous sens, évitant vivement les trams qui sonnent
avec
frénésie et les petits taxis rouges qui déferlent sur les boulevards
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Contre leurs piles, en hiver, viennent se briser
avec
un fracas sourd les îlots de glace qui descendent lentement le fleuve
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illumine, et la Vierge y sourit. Le château royal
avec
son amiral régent et ses gardes blancs aux casques d’or s’avance en p
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de belette » qui enterre son enfant dans la neige
avec
une sorte d’innocence animale. La superstition rôde dans ces campagne
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ient d’être citées, et qui vivent dans la mémoire
avec
leurs gestes lents et leurs passions étranges. Aussi, quelques enfant
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les meilleures raisons ! Ou s’il tente la chance
avec
un débutant, il est forcé de se rattraper ailleurs, et de publier, po
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ation. Ce phénomène est apparu dès le romantisme,
avec
la théorie de l’art pour l’art. Pour mille raisons diverses, il n’a f
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ion sociale avant qu’un dictateur ne les y invite
avec
une insistance déplaisante. Il s’agit, pour eux, de retrouver ce qu’o
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e mieux que lorsqu’il sent qu’il est en communion
avec
les soucis de la nation, sa vie réelle et sa nature profonde. Mais un
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ses racines : M. Béguin vient de nous le donner,
avec
une maîtrise qui le met du coup au premier rang des historiens modern
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ionnément discuté, se trouve déjà posé et défini,
avec
une ampleur admirable, par ces penseurs dont nous ignorons tout. C’es
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ue française : en exposant leur contenu essentiel
avec
une clarté et une précision admirables, M. Béguin rend à notre littér
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entent les recherches d’un Valéry ou d’un Claudel
avec
celles d’un Novalis, par exemple. Ce serait l’occasion de réviser bie
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’ailleurs, à M. Albert Béguin, d’avoir su marquer
avec
tant de justesse le point précis où l’entreprise titanesque du romant
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er dictatorial. Peut-on dire, pour simplifier, qu’
avec
Roosevelt l’entrée en guerre des États-Unis serait un peu plus probab
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rre des États-Unis serait un peu plus probable qu’
avec
Willkie ? Ce n’est pas certain. Mais peut-être cette nuance hypothéti
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Que s’est-il passé ? Personne ne pourrait le dire
avec
certitude, pas plus qu’on ne saurait prévoir l’issue de la campagne.
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un bouton tricolore qui proclame sur sa poitrine,
avec
une sobre éloquence : « Je désire Willkie (ou Roosevelt) comme présid
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i chantait à pleine voix le Star-Spangled Banner,
avec
la ferveur d’une évangéliste de l’Armée du salut. Trois jours plus tô
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n, toute la presse qui venait de soutenir Willkie
avec
ensemble, et qui n’avait pas cessé de démontrer que Roosevelt signifi
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taires d’État tiennent des conférences régulières
avec
les journalistes, qui ont le droit de leur poser n’importe quelle que
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de cette efficience, qui contrastent si fortement
avec
les scléroses et les vieilles rancunes de la vie politique européenne
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cessifs. Ceux-ci se confondent souvent d’ailleurs
avec
les apports raciaux. Un Américain qui appartient à l’Église réformée
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lundi, copieux résumés des sermons de la veille,
avec
manchettes et sous-titres ; on en accorde beaucoup moins aux conféren
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rale », dont il répétait les phrases à haute voix
avec
tous les membres du Congrès, dans une église de la capitale. Cela s’i
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la capitale. Cela s’intitulait : « La nation prie
avec
son président. » Le speaker commentait : « Maintenant, le président e
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tenant, le président et M. Wallace s’agenouillent
avec
toute la congrégation… Le chœur entonne le cantique : « Ô Dieu, notre
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et qu’on les voit s’identifier, en un clin d’œil,
avec
les règlements « pareils pour tous », non point avec votre situation
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c les règlements « pareils pour tous », non point
avec
votre situation d’usager perplexe ou anxieux. La bonhomie des mêmes e
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entendent pas ce latin-là. Même s’il est prononcé
avec
l’accent anglais. Vous allez me parler, je le sais bien, des grandes
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seil de l’Europe, ainsi que vos rapports internes
avec
le comité ministériel. Permettez-moi de vous dire que l’opinion s’en
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chances de l’Europe, aujourd’hui, sont confondues
avec
les chances de l’homme. Personne n’est assez grand pour répondre au d
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e part ne sont pas socialistes, ou ne le sont pas
avec
le bon accent. Comment s’unir avec des gens pareils ? Leur existence
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ne le sont pas avec le bon accent. Comment s’unir
avec
des gens pareils ? Leur existence est purement négative. J’ai bien lu
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flit éventuel.) Si vous acceptez cela, vous aurez
avec
vous l’opinion vraie dans sa majorité, les militants de l’Europe, la
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de la vérité », écrivait-il à Madame du Deffand.
Avec
ou sans le curé, contre les tyranneaux, en dépit des conseils des réa
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stes, tous protestants, mais qui vécurent en paix
avec
ceux qu’ils enrichissaient. En même temps, il faisait bâtir une églis
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première paire parvint à la duchesse de Choiseul
avec
ce mot : « Daignez les mettre, Madame, une seule fois, et montrez ens
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Mémoires secrets. Mille tractations qu’il combine
avec
joie permettent de supprimer les douanes de notre zone : ah ! que ne
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aint-François de 1777. M. de Voltaire le reçoit «
avec
sensibilité », sur le perron de son château. Les enfants du village e
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urer leur défense, incapables enfin de retrouver,
avec
leur fierté légitime, leur indépendance réelle. D’où vient, après tou
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ses avant Genève, sont en opposition fondamentale
avec
celles de nos communistes occidentaux et des neutralistes qui les sui
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errait rassurée, l’Europe serait faite et la paix
avec
elle. Prendre au sérieux le principe de la non-ingérence, c’est par e
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e au mouvement fatal de l’Histoire. Le malentendu
avec
l’Occident — qui se traduisait alors par une ingérence qualifiée dans
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rompre toutes relations, diplomatiques ou autres,
avec
la Russie soviétique, ses clients et ses partisans. Je crois avoir ét
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à proposer, ici, la reprise du dialogue culturel
avec
les Soviétiques délivrés de Staline. Des rencontres privées ont suivi
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l prétend écraser Israël. On ne peut pas discuter
avec
ça. J’écris, et les Hongrois tombent sous les balles des Russes. Je n
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igeons de nos gouvernements une rupture immédiate
avec
Moscou. Exigeons la dissolution des partis communistes d’Occident, co
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isme sans espoir, seule communion possible encore
avec
son peuple. y. Rougemont Denis de, « Hommage à Pasternak », Journa
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e la « prédestination de notre personne morale » (
avec
une référence explicite à Calvin). Tout cela, sans aucun recours au v
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ant six ans d’Amérique je n’ai fait que « papoter
avec
des milliardaires nyouorkaises » et me « perfectionner dans les parle
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onne, en fait de papotages, que des conversations
avec
Jacques Maritain, André Breton et Saint-Exupéry — ou mes émissions qu
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l’on puisse trouver. Je suis tout à fait d’accord
avec
l’historien anglais Toynbee qui dit que la plus petite unité d’étude
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de culture. La division de la culture est apparue
avec
l’école obligatoire et la presse. On a fabriqué le nationalisme au xi
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ensibilité. Comme l’ont fait la statuaire grecque
avec
ses dieux à formes humaines, l’architecture médiévale avec les voûtes
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dieux à formes humaines, l’architecture médiévale
avec
les voûtes romanes et les flèches gothiques, les troubadours avec leu
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romanes et les flèches gothiques, les troubadours
avec
leurs poèmes d’un érotisme raffiné, les romanciers du cycle de la Tab
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té, qui, elle, a jugé le christianisme compatible
avec
le service militaire du citoyen. Moyen légal ou ferment d’anarchie
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a été dit clairement que le conflit était plutôt
avec
la Constitution qu’avec l’armée. Or en effet c’est l’armée qui accuei
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e le conflit était plutôt avec la Constitution qu’
avec
l’armée. Or en effet c’est l’armée qui accueille les objecteurs au mo
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Mais est-ce que les arrêts répressifs se purgent
avec
des prisonniers de droit commun ? Colonel Vaucher. — Absolument pas.
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militaire : refus de servir) sont réalisées. Mais
avec
les atténuations dont nous avons parlé. Bernard Béguin. — Ces atténua
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que le tribunal apprécie les motifs de conscience
avec
plus ou moins de soin. Il y a des cas où des tribunaux valaisans ou f
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ce à ce que la vie des objecteurs soit en rapport
avec
leurs principes. Enfin nous ne condamnons pas perpétuellement. Autref
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otre système militaire, tel qu’il est maintenant,
avec
l’armée que nous avons, est certainement un élément positif, en dépit
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re peut-être ? Christian Schaller. — Pas du tout.
Avec
les armes conventionnelles, certainement. Colonel divisionnaire Dénér
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esoin de philosopher à son propos, comme l’a fait
avec
tant de talent Georges Bataille. Fasciné par la problématique de l’am
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zones voisines voient leurs relations d’échanges
avec
elle brimées, ralenties, pénalisées ou bloquées par un cordon douanie
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santé ou de chômage, en ville, la voiture est là,
avec
ses partisans et ses détracteurs. Voiture fonctionnelle, voiture-évas
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is sur pied une fantastique publicité, d’ailleurs
avec
beaucoup de talent. Dans une des premières brochures publicitaires de
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une petite auberge qu’il avait achetée pour jouer
avec
ses petits enfants. Il avait obtenu du gouverneur de l’État l’interdi
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d’hui. Pensez-vous qu’à l’origine on avait compté
avec
cela ? Est-ce qu’on aurait accepté de rendre toute l’économie occiden
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enis de Rougemont : Je suis parfaitement d’accord
avec
vous. Seulement pour en revenir à l’initiative Weber, elle ne demande
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permis de construire. Une erreur que l’on commet
avec
le trafic routier, c’est de transporter beaucoup trop de choses en ca
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ous avez mis en marche des mouvements pendulaires
avec
des gens qui vont à leur travail et qui en reviennent. Ces mouvements
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ne bonne partie est évacuée par les eaux de pluie
avec
les effets biologiques que vous devinez. Le reste par le vent. Or on
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La bronchite chronique prend une forte expansion
avec
l’air des villes. Le coût social de ces maladies est épouvantablement
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nd des centrales : « Surtout ne faites pas de mal
avec
». Ils le jurent tous. Ils paient 6 milliards pour une usine de retra
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à l’origine d’un échange de lettres assez nourri
avec
Montherlant. Ce dernier alla même jusqu’à m’envoyer une photo où on l
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crivain. Mes débuts littéraires ont donc coïncidé
avec
ma passion pour le football. Par la suite, j’ai eu l’occasion de renc
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ion de rencontrer à maintes reprises Albert Camus
avec
qui j’ai beaucoup parlé football. Il jouait, lui aussi, au poste de g
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tains ne seraient sans doute pas du tout d’accord
avec
ce changement radical. D’ailleurs je voyais l’autre jour à la TV des
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du Comité olympique français s’est alors rebiffé
avec
virulence en déclarant « Quoi ! On veut m’arracher mon drapeau, on en
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uisse paraître, sa vocation littéraire a commencé
avec
le football… »
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Comme chaque année, je suis parti en vacances
avec
une pleine valise de manuscrits en train et de livres « à lire en vac
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’amis » : le Poisson-scorpion de Nicolas Bouvier,
avec
le plaisir constant, finalement envoûtant, d’une surprise ou d’une tr
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t au cœur, au corps et à l’âme » et de réaffirmer
avec
force sa foi en un avenir qui sera ce que nous en ferons, Denis de Ro
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cation civique et d’une dizaine d’autres actions…
Avec
tout ce que cela nécessite de tâches quotidiennes, d’animation, d’org
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itaires. Par Alexandre Marc, j’entrai en relation
avec
quelques dizaines de jeunes intellectuels, avec ce que l’on nomme auj
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n avec quelques dizaines de jeunes intellectuels,
avec
ce que l’on nomme aujourd’hui, d’après une thèse célèbre, « les non-c