1 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Non, notre civilisation n’est pas mortelle ! » (30-31 août 1969)
1 Dans un petit livre que j’ai écrit en 1946 sur la bombe atomique , je disais en post-scriptum à mes lettres : « Un dernier mot, et dire
2 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Un débat sur l’objection de conscience : entre Dieu et l’État (4 octobre 1969)
2 défense. On ne peut plus raisonner au temps de la bombe atomique comme au temps de Morgarten. On peut dire — je l’ai entendu dire par
3 t certainement un élément positif, en dépit de la bombe atomique dont on parle beaucoup sans en connaître les effets. Par deux fois dé
4 divisionnaire Dénéréaz. — Il n’est pas dit que la bombe atomique intervienne dans les combats. Je ne veux pas faire ici de la tactique
5 Mais maintenant j’ai changé d’avis à cause de la bombe atomique . Il n’y a aucune espèce de valeur humaine qui vaille les destructions
6 tructions physiques et morales qu’entraînerait la bombe atomique sur un pays. Cela me paraît changer radicalement la valeur de la guer
7 t la guerre au Vietnam. Et les destructions de la bombe atomique sont très comparables à celles que nous avons tolérées, idéologiqueme
3 1978, Journal de Genève, articles (1926–1982). Débat sur la voiture dans la société moderne (février 1978)
8 os crimes. Ce qui est dangereux c’est l’homme. La bombe atomique seule n’est pas dangereuse. Mais le risque apparaît lorsque vous donn
4 1982, Journal de Genève, articles (1926–1982). Suis-je perdu pour la littérature ? (30 octobre 1982)
9 s livres, sur la Suisse, sur le diable, et sur la bombe atomique notamment. Mais surtout, par la force en mon cas créatrice d’une cons