1 1940, Journal de Genève, articles (1926–1982). Veille d’élection présidentielle (14 novembre 1940)
1 s, moi aussi, être nommé capitaine. » La mode des boutons à slogans fait d’ailleurs fureur. L’Américain n’aime guère discuter,
2 nnaître son opinion. Il délègue donc ce soin à un bouton tricolore qui proclame sur sa poitrine, avec une sobre éloquence : « 
2 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Santé de la démocratie américaine (17 janvier 1941)
3 ner. On vendait à la criée les derniers stocks de boutons au nom des candidats. À dix heures, les chapeaux commencèrent à s’orn
4 ries cordiales adressées aux derniers porteurs de boutons Willkie, — ce sentiment, cette sensation physique d’un renversement d
5 rme de démocratie ? En tournant tout à l’heure le bouton de ma radio, j’ai entendu cette phrase prononcée d’une voix forte : «
3 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Religion et vie publique aux États-Unis (18 février 1941)
6 s aux conférenciers les plus en vogue. Tournez le bouton de votre radio : à 14 h chaque jour, vous entendrez un choix « d’hymn
4 1956, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Oserons-nous encore… » (6 novembre 1956)
7 chambres, criant au secours dès qu’on tournait le bouton d’un poste de radio, à nos oreilles, appelant l’Europe, qui ne pouvai