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oncé certaines des confusions sur quoi se fondent
ces
poétiques espérances ou ces craintes imaginaires. Beaucoup pourtant s
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s sur quoi se fondent ces poétiques espérances ou
ces
craintes imaginaires. Beaucoup pourtant subsistent encore. Or, le nou
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aît destiné à lever plusieurs des plus tenaces de
ces
confusions. M. de Traz a visité l’Égypte, ses habitants, ses tombeaux
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simple visite des cafés dans l’une et l’autre de
ces
capitales suffit à vous en donner la sensation : ce que vous pourrez
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tat d’esprit le plus naturel. Mais de quoi vivent
ces
bourgeois aimables et insipides, qui passent des après-midi entiers d
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ut le charme profond de Selma Lagerlöf revit dans
ces
peintures d’une Laponie lointaine, où des gens simples mènent des exi
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te d’innocence animale. La superstition rôde dans
ces
campagnes désertiques : il y a des fous, des femmes possédées ; des i
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s, il sait aimer. Et sur ce monde, qu’il est, sur
ces
vies douloureuses, banales ou touchantes, mal engagées ou menacées, h
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ordinaire : que ne prennent-ils un second métier,
ces
écrivains ! La littérature n’est qu’un luxe, elle n’a pas à nourrir s
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oûts (supposés) du public. Ils renoncent à former
ces
goûts. Ils se contentent de les flatter. Et aussitôt, comme on pouvai
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pour cinq ou dix volumes à venir. La propriété de
ces
ouvrages se trouve par ailleurs assurée à l’éditeur jusqu’à 50 ans ap
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Le projet de loi Jean Zay entend mettre une fin à
ces
pratiques, en limitant à 10 années l’effet des contrats d’édition. To
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ont du côté du public sur l’importance civique de
ces
problèmes. On ne manquera pas de me dire que la situation est loin d’
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me disais : Qu’est-ce que tout cela, ce discours,
ces
clameurs, sinon les phantasmes d’un rêve, d’un rêve de vie tendue, di
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à posé et défini, avec une ampleur admirable, par
ces
penseurs dont nous ignorons tout. C’est que leurs œuvres sont pratiqu
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Willkie ont reçu quelques œufs sur la tête, mais
ces
manifestations somme toute peu dangereuses, de la passion politique,
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ques. La seule conclusion claire qui se dégage de
ces
paradoxes politiques me paraît être la suivante : Quoi qu’il arrive l
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s, bleus et rouges. À onze heures, la foule épela
ces
mots courant sur les murailles du Times : « Roosevelt entraîne New Yo
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Je n’oublierai pas le bonheur brillant dans tous
ces
yeux levés, la fraternisation générale des classes et des races, les
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s flottements dans la politique du New Deal, mais
ces
défauts techniques sont compensés par un avantage moral considérable
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e démagogie et d’effets oratoires qui caractérise
ces
communications publiques : un ton familier, humain ; des faits, et no
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ique. Le fait qu’il n’y a que deux partis, et que
ces
deux partis ne représentent nullement deux classes, à peine deux tend
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ts ou puritains, méthodistes, presbytériens, tous
ces
pionniers étaient d’abord des fanatiques d’une foi, des missionnaires
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nis traduit aujourd’hui encore le jeu complexe de
ces
apports religieux successifs. Ceux-ci se confondent souvent d’ailleur
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; et s’il est catholique, Irlandais ou Italien. À
ces
différences d’origine sont venues s’ajouter, par la suite, des différ
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s politiques, des écrivains d’« avant-garde »… Et
ces
professeurs de théologie n’hésitent pas à collaborer aux magazines po
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diverses dénominations dans un même village. Mais
ces
traits extérieurs s’expliquent lorsqu’on découvre la réalité de la vi
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première Épître aux Corinthiens : « Et maintenant
ces
trois choses demeurent : la Foi, l’Espérance et la Charité… » Le disc
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it », annonçant la bénédiction. Si je relève tous
ces
traits, c’est que la presse et la radio ne cesseront de les souligner
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et profond, mais aussi différent que possible de
ces
passions de haine et d’orgueil collectif que l’on excite ailleurs « Ô
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dons les plus saints du chef, et permets que dans
ces
sombres jours, il puisse conduire un peuple pieux et uni de cette val
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à tire-d’aile vers l’Irlande. » Mais ce cliché et
ces
jolies syllabes décrivent mal un voyage aérien. Car voyager, aujourd’
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’est pas le moment d’être objectif ! » Elle adore
ces
rideaux trop rouges, ces meubles blancs, et ce grapefruit. Ils la ven
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objectif ! » Elle adore ces rideaux trop rouges,
ces
meubles blancs, et ce grapefruit. Ils la vengent, croit-elle, d’une A
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? Je ne puis pas distinguer les noms des rues sur
ces
maisons jaunes ou grises et si basses. Je cherche à voir, le nez cont
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er, je ne suis pas à Paris. » Et c’est bien un de
ces
tours que nous jouent les cauchemars, de rapetisser méchamment tous l
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ropéens (16 août 1950)q Messieurs les députés,
Ces
lettres ne sont pas un cahier de doléances ou de revendications. Et j
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s consultations, consulte à son tour des experts.
Ces
consultés à la troisième puissance — si l’on peut dire ! — répondent
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tement un toit. Pour tout dire en style familier,
ces
éternelles prudences nous cassent les pieds. On trouverait dans les p
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adiens français et même les Irlandais, pensent de
ces
origines communes… Le point de vue politique des Dominions n’est pas
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ir les résolutions de Colombo ; et pas un seul de
ces
pays n’est travailliste… Les habitudes sociales, les intérêts… On dev
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e de compromis, c’est-à-dire d’action positive. À
ces
deux conditions de l’union — les mieux faites pour la rendre impossib
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ervateurs britanniques des seconds. On devine que
ces
conservateurs suivent une logique non daltonienne : ils partent d’un
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« Je veux bien, je ne suis pas contre, mais voyez
ces
difficultés ! L’Opinion, par exemple, n’est pas mûre, et chacun sait
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s Anglais jugeront qu’ils ne peuvent s’associer à
ces
engagements téméraires avant d’avoir pris le temps d’étudier leur con
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familier, le grand couloir des vents européens et
ces
prairies entre deux bois de très vieux chênes, où persiste un tapis d
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ion ; il ne vit pas seulement dans les mémoires :
ces
maisons, ces fabriques, ces allées de peupliers, ces champs gagnés su
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it pas seulement dans les mémoires : ces maisons,
ces
fabriques, ces allées de peupliers, ces champs gagnés sur les marais,
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t dans les mémoires : ces maisons, ces fabriques,
ces
allées de peupliers, ces champs gagnés sur les marais, voilà l’œuvre
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maisons, ces fabriques, ces allées de peupliers,
ces
champs gagnés sur les marais, voilà l’œuvre du Patriarche au pays de
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olisson qui le rendent présent parmi nous. Plutôt
ces
inscriptions, que je copie sur le socle : Face nord : Au bienfaiteur
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zone : ah ! que ne pouvait un seul individu, dans
ces
temps que l’on nous a décrits comme adversaires des libertés réelles
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et Jura, entre le xviiie et notre siècle, entre
ces
jardins de Candide et cette Bourse des valeurs de toute l’Europe (et
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nt le projet d’union et démontrant ses avantages.
Ces
écrits réunis sous un nom bientôt illustre : The Federalist, exercère
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e atmosphère. Les faits ont trop longtemps appuyé
ces
arrogantes prétentions des Européens. C’est à nous de relever l’honne
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de la race humaine et d’enseigner la modération à
ces
frères trop sûrs d’eux-mêmes. L’Union nous en rendra capables. La dés
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les conditions précises de la mise en pratique de
ces
principes. Prendre au sérieux l’offre russe de sécurité occidentale,
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ment l’on n’aurait qu’une suite de monologues. Or
ces
deux conditions du dialogue viennent d’être acceptées sans réserve pa
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yeux hébétés, sans un cri, sans un geste — cela ?
Ces
voix rauques, jusque dans nos chambres, criant au secours dès qu’on t
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dire : allons-y ! pour leur dire : nous voici ! —
Ces
voix rauques, étranglées maintenant, non je n’oserai pas demander par
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rime le plus atroce de toute l’Histoire. Refusons
ces
ballets, ces équipes de football, ces délégations policières, ces « g
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atroce de toute l’Histoire. Refusons ces ballets,
ces
équipes de football, ces délégations policières, ces « gardiens de la
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e. Refusons ces ballets, ces équipes de football,
ces
délégations policières, ces « gardiens de la paix » aux mains rouges
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équipes de football, ces délégations policières,
ces
« gardiens de la paix » aux mains rouges : Budapest nous le crie de t
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que parle aux Français ». Mais la caricature veut
ces
déformations, si la critique honnête les réprouve. Tout autre chose e
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t à flétrir publiquement. Si nous nous moquons de
ces
idéaux, ou si nous condamnons à la prison ceux qui se réclament en to
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is bien que vous n’avez pas le droit formel. Dans
ces
conditions, pourquoi ne pas condamner « pour la forme », en saisissan
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fférences, des nuances de langue. D’abord, toutes
ces
langues sont parentes, ensuite toutes les formes générales de la cult
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’Université », c’est absurde. Il me fait penser à
ces
grands-pères qui veulent se rendre populaires auprès de leurs petits
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ancien, ce que j’appelle le « désordre établi ».
Ces
conditions idéales n’ont encore jamais été réalisées. La Révolution f
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ut dépend si le citoyen est autorisé à les faire,
ces
lois, ou si elles lui sont dictées. Si elles ont été faites par la co
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la Suisse, parlent d’objection de conscience. De
ces
300, 200 ont une attitude positive à l’égard de l’armée et acceptent
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it et qu’il se présenterait au service militaire.
Ces
jugements ont été cassés par le tribunal militaire de cassation : con
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nuations dont nous avons parlé. Bernard Béguin. —
Ces
atténuations, est-ce qu’elles sont venues d’un malaise, d’un sentimen
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nguement leurs motifs, nous les demandons, car si
ces
motifs ne sont ni religieux, ni moraux, ni philosophiques, alors nous
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opres thèses sur l’Europe. Y a-t-il un lien entre
ces
deux pôles d’attraction que sont pour vous l’amour d’une part, l’Euro
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inédites et il a fait paraître plusieurs inédits.
Ces
ouvrages, et d’autres, ont été traduits en norvégien, en grec, en ang
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’avis de qui que ce soit. Nous le ferons ! disent
ces
messieurs qui forment ce qu’on a appelé la « chevalerie du nucléaire
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ens qui vont à leur travail et qui en reviennent.
Ces
mouvements amènent par conséquent des véhicules en ville, laquelle es
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raire de sa voiture qu’il aura laissée dans un de
ces
parkings, alors que vous avez de plus en plus aujourd’hui des centres
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nt scandaleux — c’est un pur gaspillage — de voir
ces
voitures qui ne durent pas et auxquelles l’on doit continuellement ch
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pulmonaires, etc. Une chose étonne tout de même.
Ces
évaluations sont presque toujours faites, chez nous, par des milieux
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de la part de la grande majorité des médecins ou
ces
faits sont-ils fortement exagérés ? Jacob Roffler : Je ne pense pas q
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xpansion avec l’air des villes. Le coût social de
ces
maladies est épouvantablement élevé. D’autre part en ce qui concerne
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ntées en livres de poche, à paraître à l’automne,
ces
tâches bloquant tout, écriture et lectures. À la seule exception d’un
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Rendons leur place aux essayistes ! C’est sur
ces
thèmes de l’essayiste et de l’engagement de l’écrivain que je vous pr
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vous me donnez aujourd’hui, non seulement réfute
ces
propos, mais me donne l’occasion de m’expliquer là-dessus, m’en fait
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i, c’est de vous faire entrevoir l’interaction de
ces
deux séries de motifs dans mon travail d’écrivain et dans mon action
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et pleinement responsable de ses actes, chacun de
ces
termes conditionnant l’autre : nul n’est tenu pour responsable de ses
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s pour les tâches qui dépassent leur compétence ;
ces
régions à leur tour se fédérant, et ainsi de suite jusqu’au niveau co